le 13 mai 2012.
Un criminel est capturé – mais la liste est toujours presque vierge, deux parmi les plus célèbres sont toujours libres de leur mouvement… Trop laid trop cruel ?
Loin de nous l’idée d’être répugnants, mais ā voir l’image de Caesar Acellem on se dit qu’une seule chose : la nature a été esthétiquement chiche contre cet homme –il est l’image même de la laideur. Âmes primitives, visages flous –la cruauté a-t-elle un visage ? Oui, trop laid trop cruel.
Nous voilà repartis encore, chefs des guerres et milices armées. Des âmes aux apparences paisibles mais capables de changer le destin des peuples en un cauchemar des malheurs. Les miliciens, ces paysans aux regards vides et quelque peu naïfs ne connaissent rien du sens de soulèvement populaire (rébellion).
Ils prennent les armes sans en connaitre le motif: pour tout dire ce sont des téléguidés qui jouent leur partie de poker dans une partie vide des lois qu’est devenue une grande partie de l’Afrique. Pour exemple la région des Grands-Lacs (Uganda, Rwanda, Burundi, Tanzanie, Kenya, la Réplique Démocratique du Congo/ RDC), laquelle connais une instabilité sans précédent.
Parmi les pays de cette sous-région, la RDC est la plus frappée. Lieu des scènes macabres qu’on ne peut décrire, ce pays est le refuge des tristement célèbres Inter-hamwes (parmi les principaux auteurs du génocide Rwandais en 1994) et les ex forces armées rwandaises (FAR) aujourd’hui transformées en FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda), les milices Maï-Maï et enfin le fameux LRA (Lord Resistance Army, en français Armée de résistance du Seigneur ; le ridicule ne tue pas) auquel appartient Caesar Acellem. Ces mouvements rebelles et leur seigneurs peuvent faire preuve d’une cruauté inimaginable.
Garantie assurée, on ne peut cesser d’éplucher au mur de lamentation tels types d’individus apparemment à intelligence bananière et à l’esprit bas qu’un escargot. Ils sont auteurs des crimes les plus affreux.
Ils sèment malheur dans la sous-région et enflamment des conflits communautaires.
C’est inimaginable que les Africains sont si manipulables.
Des mouvements rebelles naissent fébrilement, et ā chaque mouvement son minuscule meneur. Parmi ceux-ci certains se sont rendus très célèbres, notamment : Joseph Kony (Uganda), Laurent Nkudabatware (RDC-Rwanda) et finalement Bosco Ntaganda (Rwanda-RDC).
Ainsi un des malfaiteurs est au arrêt (on ne peut qu’applaudir). Mais delà à se demander pourquoi la Communauté internationale (par les USA) a misé sur l’ Ugandais Joseph Kony en laissant toujours Nkudabatware mener une vie paisible (à Kigali au Rwanda)?
Et maintenant Ntaganda, défiant, est aussi entrain de filer entre les mains en RDC …
Dire que ces seigneurs de guerres sont difficiles ā appréhender claquerait comme un gifle en plein visage de l’humanité.
Source : Rédaction emungus.net
Un criminel est capturé – mais la liste est toujours presque vierge, deux parmi les plus célèbres sont toujours libres de leur mouvement… Trop laid trop cruel ?
Loin de nous l’idée d’être répugnants, mais ā voir l’image de Caesar Acellem on se dit qu’une seule chose : la nature a été esthétiquement chiche contre cet homme –il est l’image même de la laideur. Âmes primitives, visages flous –la cruauté a-t-elle un visage ? Oui, trop laid trop cruel.
Nous voilà repartis encore, chefs des guerres et milices armées. Des âmes aux apparences paisibles mais capables de changer le destin des peuples en un cauchemar des malheurs. Les miliciens, ces paysans aux regards vides et quelque peu naïfs ne connaissent rien du sens de soulèvement populaire (rébellion).
Ils prennent les armes sans en connaitre le motif: pour tout dire ce sont des téléguidés qui jouent leur partie de poker dans une partie vide des lois qu’est devenue une grande partie de l’Afrique. Pour exemple la région des Grands-Lacs (Uganda, Rwanda, Burundi, Tanzanie, Kenya, la Réplique Démocratique du Congo/ RDC), laquelle connais une instabilité sans précédent.
Parmi les pays de cette sous-région, la RDC est la plus frappée. Lieu des scènes macabres qu’on ne peut décrire, ce pays est le refuge des tristement célèbres Inter-hamwes (parmi les principaux auteurs du génocide Rwandais en 1994) et les ex forces armées rwandaises (FAR) aujourd’hui transformées en FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda), les milices Maï-Maï et enfin le fameux LRA (Lord Resistance Army, en français Armée de résistance du Seigneur ; le ridicule ne tue pas) auquel appartient Caesar Acellem. Ces mouvements rebelles et leur seigneurs peuvent faire preuve d’une cruauté inimaginable.
Garantie assurée, on ne peut cesser d’éplucher au mur de lamentation tels types d’individus apparemment à intelligence bananière et à l’esprit bas qu’un escargot. Ils sont auteurs des crimes les plus affreux.
Ils sèment malheur dans la sous-région et enflamment des conflits communautaires.
C’est inimaginable que les Africains sont si manipulables.
Des mouvements rebelles naissent fébrilement, et ā chaque mouvement son minuscule meneur. Parmi ceux-ci certains se sont rendus très célèbres, notamment : Joseph Kony (Uganda), Laurent Nkudabatware (RDC-Rwanda) et finalement Bosco Ntaganda (Rwanda-RDC).
Ainsi un des malfaiteurs est au arrêt (on ne peut qu’applaudir). Mais delà à se demander pourquoi la Communauté internationale (par les USA) a misé sur l’ Ugandais Joseph Kony en laissant toujours Nkudabatware mener une vie paisible (à Kigali au Rwanda)?
Et maintenant Ntaganda, défiant, est aussi entrain de filer entre les mains en RDC …
Dire que ces seigneurs de guerres sont difficiles ā appréhender claquerait comme un gifle en plein visage de l’humanité.
Source : Rédaction emungus.net
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