07/07/2012
Combattants - Marche des Combattants le 30 Juin 2012 a Bruxelles
La paix tarde encore à être rétablie aux Kivu, les Congolais sont déterminés à mettre rapidement fin à cette aventure dont la partition, on le sait, se joue à partir de Kigali et de certaines forces occultes qui, tous, ont toujours été habités par le funeste dessein de faire disparaître la République démocratique du Congo.
Rompue depuis quelques mois à la suite d’une mutinerie orchestrée dans une partie de la province du Nord-Kivu par des ennemis de notre pays, la paix tarde encore à être rétablie dans ses droits les plus légitimes.
Dans tous les cas, la situation ne va pas en rester à cet état. Ce ne sera pas pour longtemps d’autant plus que les Congolais sont déterminés à mettre rapidement fin à cette aventure dont la partition, on le sait, se joue à partir de Kigali et de certaines forces occultes qui, tous, ont toujours été habités par le funeste dessein de faire disparaître la République démocratique du Congo.
Déjà qu’ils trouveront sur leur chemin un peuple plus qu’engagé et déterminé à faire échouer lamentablement leurs plans machiavéliques, les prétendus fossoyeurs des intérêts de la nation congolaise doivent savoir que leur « mission » est perdue d’avance.
Bénéficiant du soutien sans réserve de Kigali, maître d’œuvre invétéré, les mutins qui sont les exécutants de cette sordide opération de rupture de paix, donnent peut-être l’air de ne pas s’en laisser conter. Grosse erreur ! Car la suite des opérations va leur être fatale.
Engagée, en effet, dans une mobilisation tous azimuts, la nation congolaise tient, comme à la prunelle de ses yeux, à la préservation de la paix, de l’unité et de la sécurité d’un pays qui a juré de ne laisser personne toucher à ces attributs plus que jamais sacrés.
Le décor ne se dessine pas autrement que ce que l’on sait de ce qui se passe effectivement au Kivu et de ce qui se fait en rapport avec l’implication avérée – toutes les preuves sont passées par là – du Rwanda dans la rupture de la paix au Congo.
Avec en sous-main, le pillage systématique des minerais du Grand Congo pour lequel les grandes multinationales – au premier plan les anglo-saxons – jouent un rôle très néfaste contre notre pays.
La situation est tellement grave que Kinshasa est obligé de prendre les choses par le bon bout. Il le faut bien dans la mesure où il est hors de question que l’on puisse se permettre d’accepter ou de tolérer le diktat de certaines grandes puissances, tout en faisant le lit de la compassion en faveur de Kigali et au détriment de Kinshasa.
Aujourd’hui, on sait que ces grandes puissances ont toujours fait plaisir à Kigali. Elles évitent, sans s’en offusquer outre mesure, de s’engager contre les positions du Rwanda alors qu’il n’est un secret pour personne que ce dernier n’a jamais fait mystère de son soutien à l’endroit des mutins du M.23.
Jusqu’aujourd’hui, dans bien de chancelleries, on a toujours refusé de citer nommément le Rwanda pour ses « turpitudes » éhontées. On préfère ne pas appeler le chat par son nom pendant que l’on n’arrête pas de faire la part à Paul Kagame.
Leur partition est connue de tous ; leur credo également. Secret de polichinelle : leurs officines ne sont là que pour chercher, vainement d’ailleurs, à en faire voir de toutes les couleurs à la RDC que l’on fragilise sans désemparer, croyant ainsi provoquer son écroulement.
Quoi qu’il en soit, le Congo-Kinshasa a toujours pris la situation par le bon bout et ce ne sont pas les « vociférations » des autres qui pourront, un jour, venir à bout de sa détermination.
[Le Potentiel]
Combattants - Marche des Combattants le 30 Juin 2012 a Bruxelles
La paix tarde encore à être rétablie aux Kivu, les Congolais sont déterminés à mettre rapidement fin à cette aventure dont la partition, on le sait, se joue à partir de Kigali et de certaines forces occultes qui, tous, ont toujours été habités par le funeste dessein de faire disparaître la République démocratique du Congo.
Rompue depuis quelques mois à la suite d’une mutinerie orchestrée dans une partie de la province du Nord-Kivu par des ennemis de notre pays, la paix tarde encore à être rétablie dans ses droits les plus légitimes.
Dans tous les cas, la situation ne va pas en rester à cet état. Ce ne sera pas pour longtemps d’autant plus que les Congolais sont déterminés à mettre rapidement fin à cette aventure dont la partition, on le sait, se joue à partir de Kigali et de certaines forces occultes qui, tous, ont toujours été habités par le funeste dessein de faire disparaître la République démocratique du Congo.
Déjà qu’ils trouveront sur leur chemin un peuple plus qu’engagé et déterminé à faire échouer lamentablement leurs plans machiavéliques, les prétendus fossoyeurs des intérêts de la nation congolaise doivent savoir que leur « mission » est perdue d’avance.
Bénéficiant du soutien sans réserve de Kigali, maître d’œuvre invétéré, les mutins qui sont les exécutants de cette sordide opération de rupture de paix, donnent peut-être l’air de ne pas s’en laisser conter. Grosse erreur ! Car la suite des opérations va leur être fatale.
Engagée, en effet, dans une mobilisation tous azimuts, la nation congolaise tient, comme à la prunelle de ses yeux, à la préservation de la paix, de l’unité et de la sécurité d’un pays qui a juré de ne laisser personne toucher à ces attributs plus que jamais sacrés.
Le décor ne se dessine pas autrement que ce que l’on sait de ce qui se passe effectivement au Kivu et de ce qui se fait en rapport avec l’implication avérée – toutes les preuves sont passées par là – du Rwanda dans la rupture de la paix au Congo.
Avec en sous-main, le pillage systématique des minerais du Grand Congo pour lequel les grandes multinationales – au premier plan les anglo-saxons – jouent un rôle très néfaste contre notre pays.
La situation est tellement grave que Kinshasa est obligé de prendre les choses par le bon bout. Il le faut bien dans la mesure où il est hors de question que l’on puisse se permettre d’accepter ou de tolérer le diktat de certaines grandes puissances, tout en faisant le lit de la compassion en faveur de Kigali et au détriment de Kinshasa.
Aujourd’hui, on sait que ces grandes puissances ont toujours fait plaisir à Kigali. Elles évitent, sans s’en offusquer outre mesure, de s’engager contre les positions du Rwanda alors qu’il n’est un secret pour personne que ce dernier n’a jamais fait mystère de son soutien à l’endroit des mutins du M.23.
Jusqu’aujourd’hui, dans bien de chancelleries, on a toujours refusé de citer nommément le Rwanda pour ses « turpitudes » éhontées. On préfère ne pas appeler le chat par son nom pendant que l’on n’arrête pas de faire la part à Paul Kagame.
Leur partition est connue de tous ; leur credo également. Secret de polichinelle : leurs officines ne sont là que pour chercher, vainement d’ailleurs, à en faire voir de toutes les couleurs à la RDC que l’on fragilise sans désemparer, croyant ainsi provoquer son écroulement.
Quoi qu’il en soit, le Congo-Kinshasa a toujours pris la situation par le bon bout et ce ne sont pas les « vociférations » des autres qui pourront, un jour, venir à bout de sa détermination.
[Le Potentiel]
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire