le 14 septembre 2012.
La République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda vont relancer vendredi le mécanisme conjoint de vérification de leur frontière commune, mis en sommeil à la suite des tensions entre les deux pays nées d’une nouvelle mutinerie dans l’est de l’ex-Zaïre, a annoncé mercredi le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders.
»Vendredi, il y aura à Goma (le chef-lieu de la province du Nord-Kivu, frontalière du Rwanda, ndlr) reprise du mécanisme conjoint de vérification » congolo-rwandais, a-t-il affirmé devant les commissions des relations extérieures du Sénat et de la Chambre à Bruxelles.
M. Reynders a précisé qu’il avait obtenu cette information lors de deux entretiens, mardi et mercredi à Bruxelles, avec son homologue rwandaise, Louise Mushikiwabo.
Le Nord-Kivu est en proie à une nouvelle rébellion – la mutinerie de soldats rassemblés au sein du Mouvement du 23 mars (M23), qui affronte depuis fin avril l’armée gouvernementale.
Kinshasa et l’ONU accusent le Rwanda de soutien à la rébellion, ce que Kigali dément. Le conflit est source de tensions régionales depuis des mois.
Direct!cd
La République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda vont relancer vendredi le mécanisme conjoint de vérification de leur frontière commune, mis en sommeil à la suite des tensions entre les deux pays nées d’une nouvelle mutinerie dans l’est de l’ex-Zaïre, a annoncé mercredi le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders.
»Vendredi, il y aura à Goma (le chef-lieu de la province du Nord-Kivu, frontalière du Rwanda, ndlr) reprise du mécanisme conjoint de vérification » congolo-rwandais, a-t-il affirmé devant les commissions des relations extérieures du Sénat et de la Chambre à Bruxelles.
M. Reynders a précisé qu’il avait obtenu cette information lors de deux entretiens, mardi et mercredi à Bruxelles, avec son homologue rwandaise, Louise Mushikiwabo.
Le Nord-Kivu est en proie à une nouvelle rébellion – la mutinerie de soldats rassemblés au sein du Mouvement du 23 mars (M23), qui affronte depuis fin avril l’armée gouvernementale.
Kinshasa et l’ONU accusent le Rwanda de soutien à la rébellion, ce que Kigali dément. Le conflit est source de tensions régionales depuis des mois.
Direct!cd
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire