dimanche 2 septembre 2012

RDC : Preuves tangibles de la haute complicité de «KABILA» et son parrain rwandais

01/09/2012


Joseph KABILA et Paul KAGAME, le 30 Juin 2010 à Kin

MESSAGE D’INTERPELLATION AU PEUPLE CONGOLAIS

Laissons tomber ce régime mortifère tombant !

L’onde de choc du récent rapport du groupe d’experts de l’ONU et son addendum publié le 30 juin 2012 sur le soutien du Rwanda à ses milices du RCD-CNDP transformées en «M23» n’a pas cessé de provoquer la colère populaire en RDC ainsi que l’indignation et moult réactions à travers le monde.

Le peuple congolais sait avec certitude que la nation est mise en péril en raison d’une forte complicité criminelle interne au sommet de l’état, qui entretient activement cette guerre d’invasion rwandaise, avec des conséquences meurtrières incommensurables sur tous les plans.

L’instabilité et tous les crimes horribles qui sévissent en RDC sont soutenus et entretenus à l’intérieur du pays par « Joseph Kabila » lui-même et son régime qui agit sous tutelle et en complicité avec le régime actuel au Rwanda pour la déstabilisation permanente de la région et la destruction du Congo (RDC).

Cette complicité interne se dévoile au jour le jour par une très longue série des ballets diplomatiques bidon avec des accords secrets très néfastes pour la sécurité en RDC et la stabilité régionale signés entre « Joseph Kabila » et le gouvernement du Rwanda.

Ces accords ont permis d’infiltrer massivement des milices mercenaires et soldats étrangers, notamment des rwandais au sein des institutions congolaises et de ce qui reste de l’Armée Nationale Congolaise en vue de l’anéantir et maintenir une guerre permanente pour le pillage des ressources et l’extermination de la population congolaise surtout à l’est du pays.

C’est un fait qui saute aux yeux de tous et, enfin, décrié ce dernier temps même par les chancelleries les plus influentes du système international en annonçant l’usage des sanctions comme moyen de pression contre le Rwanda, après ce bilan macabre de plus de 8 millions de victimes congolaises innocentes et une population survivante terrorisée et clochardisée à outrance par un régime d’occupation infernale.

«Joseph Kabila» ne peut pas se prévaloir le titre de «chef de l’état» en RDC car il ne le mérite pas. Il doit etre contraint à démissionner suite à sa complicité évidente avec le Rwanda et son incapacité de gouverner et de proteger le pays.

Le fossé entre le gouvernement-mercenaire et le peuple congolais s’amplifie en RDC

Le pouvoir d’occupation qui a pris la RDC en otage à Kinshasa depuis 2001 est responsable de tout ce qui se passe maintenant au Kivu, à cause de ses atomes crochus avec le régime de Kigali et de ses compromissions avec les milices pro-rwandaises du RCD-CNDP muées en «M23»:

  • des accords signés par «Joseph kabila» avec le Rwanda et ses milices et dont les contenus ne sont jamais rendus publics;
  • l’attribution des tous les postes hautement stratégiques, ainsi que des grades d’officiers généraux supérieurs aux miliciens rwandais-CNDP « mixés » et incorporés massivement sans discernement dans les FARDC;
  • la protection de tous les criminels rwandais dont Nkundabatware, Mutebusi, Bosco Ntaganda et le refus obstiné de le livrer à la justice dont la CPI; l’adhésion du CNDP à la mouvance présidentielle de «Kabila»;
  • le détournement des rations et soldes des militaires au front; la réticence à citer nommément Paul Kagame pour son implication avérée dans le soutien du CNDP-M23;
  • le décret du «huis clos» qui a scandaleusement étouffé des motions d’interpellation de l’opposition, l’accord très compromettant aux contours flous signé à Addis-Abeba le 15 juillet 2012 sur le déploiement d’une fore dite «neutre» à l’est de la RDC, etc. constituent des preuves tangibles de la haute complicité de « Joseph Kabila » et son parrain rwandais au drame que subit la population congolaise depuis plusieurs années en toute impunité.
Chronique d’une tragédie nationale

Si tous les mercenaires rwandais bénéficient de la protection directe de « Joseph Kabila » en RDC, en revanche la population congolaise et ses Défenseurs des droits de l’homme, des Journalistes, les Résistants et opposants congolais à ce régime d’occupation sont systématiquement massacrés, assassinés, incarcérés, terrorisés, ou portés disparus par «Joseph Kabila» et ses escadrons de la mort.

Après Floribert Chebeya et tant d’autres, Diomi Ndongala dans le couloir de la mort sous les griffes de “Joseph Kabila”

Aujourd’hui, l’Honorable Eugene Diomi Ndongala, un fervent défenseur des droits fondamentaux de ses compatriotes est actuellement le Martyr agonisant aux côtés d’une multitude des Congolais incarcérés sans jugement sous les griffes du régime des assassins insatiables du sang des Congolais.

Comme Floribert Chebeya et tant d’autres martyrs, Diomi Ndongala se trouve aujourd’hui dans le même couloir de la mort du régime vampire qui tue sans vergogne et ne vit que du sang.

Nous lançons encore un appel urgent à toutes les organisations de défense des droits de l’Homme au niveau national et international de se joindre à nous pour exiger et obtenir sa libération.

Massacres des Congolais à l’est du pays, un rituel au quotidien

Les éléments du cheval de Troie introduit en RDC par le régime extrémiste mono ethnique du Rwanda, à travers les guerres d’invasion de l’AFDL-RCD-CNDP depuis 1996, ne font plus mystère sur leur stratégie de liquéfaction de la RDC, de son élite et sa population.

En outre, il y a un triple contentieux entre le pouvoir d’occupation et le peuple, né de ces guerres d’invasion et de l’imposture au sommet de l’état congolais, suivie du score des tripatouillages électoraux de 2006 et du 28 novembre 2011.

C’est ce triple contentieux qui a exaspéré et renforcé l’effritement de la cohésion nationale, creusant un fossé entre les gouvernants mercenaire-illégitimes et les gouvernés meurtris.
Quand la nation est mise en péril par ses gouvernants, le peuple doit agir!

La complicité interne au sommet de l’état congolais et le manque délibéré de volonté à mettre fin à cette situation tragique pour protéger la population et l’intégrité territoriale se heurtent à présent, par conséquent, à un ras-le-bol collectif irréversible autour de l’unité nationale et aux multiples actions populaires en RDC et dans la Diaspora.

La Diaspora congolaise, comme celle de la France dans les années 40, a donné le ton. La masse populaire en RDC répond au rendez-vous de la résistance pour la paix, la sécurité nationale et régionale en Afrique centrale. Le monde entier l’observe ce dernier temps avec attention.


LE PEUPLE MARTYR SE LEVE : il agit !

En effet, après avoir initié le 01. Aout 2012 une grande marche populaire de protestation sur toute l’étendue du territoire national contre l’actuelle invasion rwandaise suivie d’une pétition de plus de 10 millions de signatures qui égalent approximativement les chiffres officielles des victimes de cette guerre, les chefs des confessions religieuses de la RDC, tous dans leur diversité, sont au rendez-vous populaire pour dénoncer la énième invasion de la RDC par le Rwanda.

Une délégation est annoncée pour se rendre au siège des Nations Unies pour remettre cette pétition au Conseil de sécurité de l’ONU, et dans certaines capitales occidentales pour exiger et obtenir une condamnation du Rwanda. Les églises de la RDC dénoncent unanimement cette invasion répétitive injuste et injustifiable qui mine les efforts de reconstruction de la Nation Congolaise.

«Cette guerre s’accompagne d’une criminalité transfrontalière sans précédent avec des millions des victimes et d’un pillage systématique des ressources naturelles de la République Démocratique du Congo », dénoncent unanimement toutes les confessions religieuses en RDC et déclarent dans leur pétition nationale que:

«Au vu de la flagrance de cette violation de l’intégrité territoriale de la RD Congo, nous, Peuple Congolais, exigeons:

1. La mobilisation des Forces de la MONUSCO pour appuyer les FARDC afin d’arrêter une fois pour toute l’invasion de la République Démocratique du Congo, le pillage de ses richesses et le viol de la femme congolaise;

2. L’arrestation et les poursuites judiciaires de tous les criminels de guerre du gouvernement rwandais cités nommément dans les différents rapports des Nations Unies;

3. L’arrestation et les poursuites judiciaires des auteurs de tous les crimes de guerre perpétrés en République Démocratique du Congo et de tous les autres criminels qui circulent entre la RD Congo et ses pays voisins a l’est;

4. Le rejet de la candidature du Rwanda au poste de membre non permanent du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies pour violations récurrentes de la Charte des Nations Unies;

5. L’application sans délai de toutes les décisions des Nations Unies en faveur de la paix en République Démocratique du Congo.» Le peuple congolais poursuit dans sa pétition du 12 Juillet 2012 et déclare à partir de la capitale Kinshasa:

«De ce qui précède, nous nous opposons à toutes formes de négociations avec les éternels criminels du Rwanda ainsi qu’à toute tentative de balkanisation du territoire national de la République Démocratique du Congo», ont déclaré les Congolais d’une voix unanime.
Plus d’un Congolais est dans tous ses états à cause de la situation qui se passe dans la Province du Nord-Kivu

A Goma dans la province martyr du Nord-Kivu, une journée ville morte décrétée et réussie à 100% le 11 juillet 2012 avait mis le gouvernement mercenaire-illégitime au pied du mur. Le théâtre d’un conflit armé trop sanglant opposant l’armée congolaise aux infiltrés rwandais du CNDP-M23 aux cotes de l’armée régulière rwandaise (RDF), désempare les Congolais qui sont en colère de ce qui se passe dans cette province.

Pour ne pas croiser les pouces face aux agresseurs, les habitants de la ville de Goma ont manifesté leur colère en suspendant toutes leurs activités le mercredi 11 juillet 2012.

Ils ont organisé une journée ville morte au point que le chef-lieu du Nord-Kivu ressemblait à une ville fantôme, décrétée en réaction aux récentes violences dans le Nord-Kivu qui n’ont que trop duré et qui ravagent non seulement les habitants de la province du Nord-Kivu, mais aussi tous les Congolais qui souffrent dans leur chair suite au calvaire enduré sur toute l’étendue du territoire national due à l’insécurité permanente dans le pays.

Le gouvernement d’occupation est au pied du mur, car son silence face à la succession de ces événements, le huis clos suspect décrété à l’Assemblée nationale sous les ordres de «Kabila» sur la question orale adressée au ministre de la Défense nationale et des Anciens Combattants en rapport avec les événements des invasions rwandaises à l’Est de la RDC sont des faits qui ont réveillé les consciences les plus démolies et leur donnent matière a réflexion.

A Bukavu et à Kindu au Maniema: La marche de la société civile contre les milices et infiltrés rwandais du CNDP-M23 avait mobilisé le même jour comme à Goma, mercredi 11 juillet 2012, des centaines de Congolais qui ont marché avec colère dans les rues de Bukavu, chef-lieu de la province du Sud-Kivu, et a Kindu au Maniema jusqu’au quartier général de la Monusco pour protester contre la guerre d’invasion rwandaise sous couvert du «M23» appuyés par des soldats de l’armée régulière rwandaise (RDF) infiltrés dans les localités du Nord-Kivu.

Les Congolais en colère l’ont fait savoir tout haut et fort : «L’intégrité territoriale n’est pas négociable», «le peuple congolais est uni et restera uni», ont-ils affirmé. Vox populi, vox Dei.

La population en colère a tout de même félicité la Monusco d’avoir dénoncé ouvertement, cette fois-ci, l’implication du Rwanda dans les conflits armés en RDC et demande à la Mission onusienne d’utiliser ses prérogatives prévues au chapitre sept (VII) pour mettre fin aux crimes du gouvernement rwandais et à l’impunité dont ce régime xénophobe jouit au moins depuis le double assassinat des présidents rwandais Habyarimana et burundais Cyprien Ntaryamira le 6 avril 1994.

Au quartier général de la Monusco, le mémo de la société civile a été remis au chef de bureau de la Monusco/Sud-Kivu, Aliou Sene. Quant à la Diaspora congolaise à travers le monde, ses actions ne sont plus à démontrer.

L’onde de choc a atteint les chancelleries internationales

A l’extérieur du pays, l’opinion internationale, troublée par l’onde de choc des rebondissements des invasions rwandaises et de la situation dramatique en RDC dans le Kivu, dénoncés et répercutés à travers le monde par des agences de l’ONU, des ONG internationales de défenses de droits de l’homme, et certaines puissances occidentales, le pouvoir d’occupation en RDC et son parrain à Kigali sont désemparés.

Cette situation gravissime et si tragique telle qu’elle apparaît aujourd’hui n’aurait pas empêché les apparatchiks du régime de terreur en RDC de dormir, n’eût été la montée en ligne de ces diverses sources crédibles de la communauté internationale qui ont élevé le ton.

Ce sont ces sources internationales qui ont démasqué le «M23» comme un mouvement inexistant, inventé par le Rwanda et utilisé comme pseudonyme dont se couvre sa milice du CNDP, tandis que les gouvernants à Kinshasa s’enfermaient dans un voile de silence d’une complicité a peine voilée.

Ces sources internationales dont le rapport d’experts des Nations Unies et Human Rights Watch ont aussi décelé et souligné avec preuves irréfutables à l’appui, le soutien actif du Rwanda et son Armée régulière (RDF) à ce faux rebelles du «M23», jusqu’à nommer des proches collaborateurs de Paul Kagame, militaires et civils chargés du recrutement, de la formation et de l’équipement des éléments supplétifs envoyés en renfort au cheval de Troie au Nord-Kivu.

Ce qui se passe actuellement au Nord-Kivu et dans tout le pays est la conséquence logique de plusieurs accords signés par «Joseph kabila» d’une part avec le Rwanda, et d’autre part avec ses milices CNDP infiltres par le «mixage» dans l’Armée Nationale Congolaise.

Les médias congolais et des leaders de l’opposition se sont mis à relayer ces sources internationales. Jusque-là, le gouvernement d’occupation et son parlement qui se trouvait en session, se comportaient comme si de rien n’était.

Aucune sanction diplomatique, aucune position officielle forte et claire embrayant sur les révélations faites par la communauté internationale face à l’invasion rwandaise.

La réaction des chancelleries occidentales saluée par le peuple congolais

Vue la flagrance des faits et des preuves bien documentés dans l’addendum du rapport des experts de l’ONU rendu publique le 30 juin 2012, les USA qui ont soutenu le regime du Rwanda pendant plusieurs annees, ont réagi les premiers pour faire appliquer des sanctions contre le Rwanda en suspendant leur aide militaire au régime de Paul Kagamé.

Le Pays bas, la République fédérale d’Allemagne, la Grande Bretagne et la Suède ont emboité les pas en déclarant à leur tour la suspension de leur aide au développement au Rwanda.

Le peuple congolais a salué avec gratitude et un grand soulagement la décision prise par les USA de suspendre leur aide militaire au Rwanda, suivis par d’autres pays influents de l’Union Européenne, suite au rapport des Nations unies mettant clairement en cause le régime de Kigali du président Paul Kagame pour l’instabilité en RDC.

L’onde de choc de ce récent rapport du groupe d’experts de l’ONU sur le soutien du Rwanda aux milices du M23 n’a pas cessé de provoquer l’indignation et moult réactions dans le monde.

Dernière en date et pas des moindres, une lettre ouverte bipartisane de 11 Congressmen américains (députés) tant républicains que démocrates adressée directement à Paul Kagame en date du 03 aout 2012 pour lui demander de cesser immédiatement toute déstabilisation de l’Est de la RDC, en menaçant d’étendre les sanctions contre le Rwanda en cas de refus de Paul Kagame de mettre fin à ses ambitions hégémonistes et criminelles qui déstabilisent toute l’Afrique centrale, avec des conséquences incommensurables sur tous les plans.

A l’instar de rabbins juifs britanniques, les Congressmen américains dénoncent et condamnent avec force la violation de la souveraineté de la RDC et tous les crimes du Rwanda de Paul Kagame commis en RDC en toute impunité.

Un Paradoxe scandaleux: le Sommet de la francophonie criminalisée en RD Congo

Au moment où les USA et d’autres pays influents de l’Union Européenne cités plus haut usent de sanctions comme mode de pression pour favoriser le retour de la paix, de la sécurité et de la stabilité en RDC et dans la région, paradoxalement, la France du président «normal» François Hollande semble opter pour un sommet de la francophonie criminalisée en RDC, contre la volonté de la plus vaste majorité des Congolais qui refusent l’organisation du prochain sommet de la francophonie à Kinshasa dans un contexte de non-état de droit et d’insécurité nationale généralisée, liée à la criminalité du gouvernement congolais illégitime.

La déclaration du président français faite le 27 aout annonçant sa participation à ce sommet à Kinshasa est perçue comme un affront raciste, une expression du mépris sans mesure et une insulte gratuite à l’endroit des millions de victimes congolaises et du peuple congolais dans sa vaste majorité.

La France ayant également connu un régime d’occupation dans son histoire contemporaine, le président Hollande, grand défenseur des valeurs démocratiques, des droits et libertés pour tous, devrait absolument s’abstenir d’offenser un peuple meurtri à outrance sous un régime d’occupation étrangère.

Le président français ne devrait pas faire aux Congolais ce qu’il ne voudrait jamais que l’on fasse aux français. Un grand homme averti en vaut deux.

Nous exprimons notre gratitude a toutes les nations et peuples du monde qui se lèvent pour soutenir les efforts des Congolais dans le rétablissement de la paix et de la sécurité en RD Congo et en Afrique centrale. «Kabila» ne peut pas se prévaloir le titre de «chef de l’état» en RDC car il ne le mérite pas.

Il doit etre contraint à démissionner suite à sa complicité évidente avec le Rwanda et son incapacité de gouverner et de proteger le pays, pour enfin permettre l’établissement d’un régime national responsable pour la gestion des intérêts nationaux et internationaux, en garantissant la stabilité nationale et régionale.

La décision prise par les USA et les pays de l’Union Européenne de suspendre leur soutien financier au Rwanda aura de l’efficacité lorsqu’ils soutiennent aussi la volonté du peuple congolais pour un changement de régime en RDC.

Nous voulons le rétablissement d’un partenariat substantiel entre la RDC, les USA et l’Union Européenne dans un Congo (RDC) stable et sécurisé qui doit assumer pleinement son rôle naturel de leadership régional en Afrique centrale pour garantir la politique de bon voisinage et les échanges commerciaux légaux sur tous les plans.

La politique rwandaise de déstabilisation de la RDC par l’infiltration et le soutien de ses mercenaires et soldats rwandais dans l’Armée nationale Congolaise doit prendre fin pour céder la place à un régime politique stable au Congo, car la reconstruction de la RDC aura besoin des investisseurs et partenaires étrangers qui veulent travailler dans un environnement sécuritaire stable.

Enfin, le déploiement d’une Force dite «neutre» n’est ni une solution, et moins encore la solution au drame récurrent de l’Est de la RDC. Elle est une distraction. Son déploiement à l’intérieur des frontières congolaises serait la matérialisation du projet de balkanisation de la République démocratique du Congo que le peuple congolais condamne et désavoue fermement.

Le déploiement d’une telle force doit se faire au Rwanda qui fabrique des milices et des mercenaires qui déstabilisent la RDC depuis plus d’une décennie en toute impunité. Que Dieu bénisse toutes les nations qui aident le peuple congolais a rétablir la sécurité et la dignité humaine en Afrique centrale.

Aujourd’hui le peuple congolais se lève. Le Congo se lèvera, car Nzambe le Très Haut Tout Puissant le veut ainsi !

[Jeanne-Marie Sindani]
UDPCongo.com
© KongoTimes

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