jeudi 14 février 2013
Fort de 500 soldats, le bataillon congolais de la Force régionale d’intervention mise en place par l’Union Africaine pour traquer les rebelles ougandais de l’armée de résistance du seigneur (LRA), a été présenté à la population de Dungu dans la province Orientale, mercredi 13 février par le chef d’état-major en charge des opérations de l’armée congolaise, le général Amuli Bahigwa, au cours d’une cérémonie de prise d’armes.
D’autres hommes de troupes de cette force proviendront de l’Ouganda, de la République centrafricaine et du Soudan du Sud.
La LRA commet plusieurs exactions parmi les populations civiles dans plusieurs pays de la sous-région, dont la RDC, l’Ouganda, la République Centrafricaine et le Soufan du Sud.
La force régionale d’intervention qui va la traquer est placée sous le commandement de l’Ouganda.
Le chef d’état-major en charge des opérations de l’armée congolaise, le général Amuli Bahigwa, a exhorté, à cette occasion, les soldats congolais qui forment ce bataillon à être disciplinés, à respecter les droits de l’homme et les ordres du colonel ougandais Dick Prit Olum. C’est ce dernier qui va diriger cette force régionale.
Outre la neutralisation de la LRA, cette force régionale a reçu pour mission de protéger la population, de sécuriser les axes routiers stratégiques.
En effet, la LRA exploite les richesses naturelles congolaises pour s’auto-financer, créant ainsi une insécurité qui perturbe les économies des pays touchés par l’activime de la LRA
C’est le cas de la route allant de l’Ouganda au Soudan du Sud en passant par Aru, Faradje et Dungu en RDC.
Le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies pour l’Afrique centrale, Abou Moussa, et l’envoyé diplomatique de la Commission africaine pour la LRA, Fransisco Madeira étaient présents à cette cérémonie.
L’Union africaine a inauguré, 24 mars 2012 à Juba, capitale du Soudan du Sud, une force militaire de 5000 hommes pour traquer et intercepter le chef rebelle ougandais Joseph Kony.
Le leader de la LRA est sous le coup d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) depuis 2005 pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Son groupe est accusé d’enlèvements d’enfants qui seraient réduits en esclaves (souvent sexuels pour les filles).
Les hommes de Kony sont également accusés de nombreux massacres de civils, d’exactions et de nombreuses destructions et de pillages.
Matshi
Le Potentiel
D’autres hommes de troupes de cette force proviendront de l’Ouganda, de la République centrafricaine et du Soudan du Sud.
La LRA commet plusieurs exactions parmi les populations civiles dans plusieurs pays de la sous-région, dont la RDC, l’Ouganda, la République Centrafricaine et le Soufan du Sud.
La force régionale d’intervention qui va la traquer est placée sous le commandement de l’Ouganda.
Le chef d’état-major en charge des opérations de l’armée congolaise, le général Amuli Bahigwa, a exhorté, à cette occasion, les soldats congolais qui forment ce bataillon à être disciplinés, à respecter les droits de l’homme et les ordres du colonel ougandais Dick Prit Olum. C’est ce dernier qui va diriger cette force régionale.
Outre la neutralisation de la LRA, cette force régionale a reçu pour mission de protéger la population, de sécuriser les axes routiers stratégiques.
En effet, la LRA exploite les richesses naturelles congolaises pour s’auto-financer, créant ainsi une insécurité qui perturbe les économies des pays touchés par l’activime de la LRA
C’est le cas de la route allant de l’Ouganda au Soudan du Sud en passant par Aru, Faradje et Dungu en RDC.
Le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies pour l’Afrique centrale, Abou Moussa, et l’envoyé diplomatique de la Commission africaine pour la LRA, Fransisco Madeira étaient présents à cette cérémonie.
L’Union africaine a inauguré, 24 mars 2012 à Juba, capitale du Soudan du Sud, une force militaire de 5000 hommes pour traquer et intercepter le chef rebelle ougandais Joseph Kony.
Le leader de la LRA est sous le coup d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) depuis 2005 pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Son groupe est accusé d’enlèvements d’enfants qui seraient réduits en esclaves (souvent sexuels pour les filles).
Les hommes de Kony sont également accusés de nombreux massacres de civils, d’exactions et de nombreuses destructions et de pillages.
Matshi
Le Potentiel
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