L’œil du Patriote qui poursuit sans relâche ses enquêtes sur tous les réseaux maffieux du pillage des ressources de la RDC n’entend pas donner du répit aux criminels et bourreaux du peuple congolais.
Car le combat de la résistance a le devoir de localiser dès maintenant toutes les adresses où sont transférés frauduleusement et secrètement les butins du pillage de la RDC afin de pouvoir les récupérer, quand viendra la libération (parce qu’elle viendra !), pour la reconstruction de notre pays et le développement social du peuple congolais.
C’est ainsi que l’enquête sur les pillages dénoncés par l’APARECO et par Mme la Députée Pauline LATHAM http://www.apareco-rdc.com/a-la-une/actualites/1239-des-milliards-de-dollars-transferes-par-joseph-kabila-vers-les-paradis-fiscaux-aux-iles-vierges-britanniques.html nous a conduit jusqu’en Australie où s’étend une des tentacules de cette pieuvre-monstre à plusieurs têtes et plusieurs bras qui vide sauvagement et cruellement le sang du peuple congolais.
Cette branche australienne de la mafia internationale est dirigée par Madame Aloysie MPIRIWE, une australienne d’origine tutsi-rwandaise. Elle est officier de renseignement et agent des services secrets rwandais évoluant sous les ordres directs de Paul KAGAME.
C’est grâce à la complicité des multinationales américaines et australiennes que le pharaon rwandais touche ses dividendes sur les transferts frauduleux des milliards de dollars du peuple congolais qu’Hyppolite KANAMBE transfère vers des sociétés fictives situées dans des paradis fiscaux situés dans les Iles Vierges Britanniques.
Les réseaux de l’APARECO se sont penchés d’abord sur la branche australienne avant de s’occuper de la branche américaine. Nos recherches nous ont conduits à nous pencher sur la gestionnaire principale de cette branche, Madame Aloysie MPIRIWE, qui y travaille pour le compte de son chef Paul KAGAME et lui sert de couverture au sein du réseau.
Cette jeune dame rwandaise de 33 ans est basée à Sydney en Australie où elle est arrivée en provenance de l’Afrique du Sud. Elle s’y était présentée comme une rescapée du génocide rwandais de 1994.
Cependant, dans le cadre de ses activités liées au renseignement, elle a effectué plusieurs missions secrètes en RDC dans les années 1998, 2000, 2006 et 2009 sous prétexte d’y installer une ONG humanitaire.
Durant ses différents séjours en RDC, elle a travaillé secrètement avec les officiers rwandais au sein de l’ANR (services de renseignements de la RDC) et de l’Armée.
Elle a chaque fois été reçue personnellement par «Joseph KABILA» pour lui transmettre des «instructions» de Paul KAGAME. Selon nos sources, les services spéciaux du Congo-Brazzaville l’auraient interpellée et gardée sous surveillance entre juillet 2007 et janvier 2008 à cause de ses activités d’espionnage pour le compte du président rwandais.
En Australie, Aloysie MPIRIWE et ses mentors travaillent sous le couvert du Cabinet «John MULLALY & ASSOCIES» pour brasser des millions de dollars destinés à Paul KAGAME.
Ce cabinet est la propriété d’un sexagénaire avocat d’affaires australien, Maître John MULLALY, qui est tombé sous le charme de l’«hirondelle» rwandaise, Mlle MPIRIWE, qui est sa maîtresse.
Pour couvrir leurs transactions frauduleuses, ce couple a ouvert des sociétés fictives d’exploitations de diamants et autres matières précieuses en Afrique, notamment en Namibie, en Afrique du Sud et en RDC.
Et c’est Aloysie MPIRIWE qui est évidemment la Directrice générale de toutes ces sociétés-écrans. Nous nous abstenons de diffuser pour l’instant certains documents et de fournir d’autres détails importants concernant ce réseau pour ne pas gêner le déroulement efficace de nos enquêtes.
Toutefois, notre objectif est que le peuple congolais prenne conscience de la dangerosité et de la nocivité de cette pieuvre-monstre constituée des nombreux vautours qui s’abattent sur ses richesses pour l’appauvrir en vue de mieux le soumettre et l’asservir.
Quoiqu’il arrive et quoiqu’il en coûte, L’œil du Patriote poursuivra ses investigations et les ennemis du peuple congolais n’auront pas de répit.
Paris, le 13 Mai 2013
Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE
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