29/05/2013
Joseph Kabila - President sortant de RDC
Jamais Chef d’Etat n’a vécu en clandestinité dans "son" pays comme « Joseph Kabila » en RDC. Jamais leader politique n’a autant eu peur du peuple qui est sensé l’avoir élu comme l’est le fils d’Adrien Kanambe vis-à-vis du peuple congolais.
Mobutu qu’on disait dictateur sanguinaire organisait chaque année au moins un «rassemblement populaire» devant une foule de centaines de milliers de congolais, suivi d’un bain de foule.
Vous voulez connaître la différence ?
L’un était un leader congolais parmi les siens, tandis que l’autre est un imposteur étranger dans un pays occupé. Il a beau avoir des collabos congolais et des griots qui chantent dans les médias pour le magnifier, Kanambe reste un dictateur rwandais sous la peau d’un président congolais !
Et comme l’habit ne fait pas le moine, Hyppolite Kanambe ne se sent pas à l’aise dans l’abbaye où il est cloitré.
La pression du peuple congolais qui se réveille de partout n’arrange pas son sort. Bien qu’il ait éloigné presque tous les militaires autochtones congolais du cercle de sa protection rapprochée, l’homme sent la mort planer à tout moment sur sa tête. Il conduit son véhicule lui-même car il n’a pas confiance aux chauffeurs militaires congolais.
Les mercenaires rwandais et tanzaniens autour de lui ne maîtrisent pas encore bien les rues cabossées de Kin-la-poubelle et surtout pas, sans lumière pendant la nuit. Chaque soir, il change de lieu plusieurs fois avant de s’échapper seul avec deux « anges » gardiens rwandais dans son véhicule pour une destination inconnue de tous. Un vrai calvaire.
Depuis qu’il a à nouveau échappé à quelques boulets au début du mois de mai, Kanambe a redoublé de vagabondage pour tenter de semer ses poursuivants réels et imaginaires. Car l’homme est tombé dans la paranoïa.
Et depuis une semaine, l’imposteur a déserté toutes ses cachettes pour venir loger dans les enceintes… du Palais du Peuple, siège officiel du Parlement congolais ! Il occupe les bureaux réservés au Chef d’Etat qu’il a transformés en logement de circonstance. L’environnement du Palais du Peuple semble lui procurer un certain répit. Pour combien de temps ?
La tension au sein de l’armée monte irréversiblement. La majorité des officiers et des militaires congolais ne décolère plus depuis qu’elle découvre chaque jour le jeu hypocrite de son « commandant suprême » qui compose avec l’ennemi au front à l’Est de la RDC et sacrifie chaque jour les fils et filles du pays sur l’autel des occupants ougandais et rwandais.
Kanambe qui rechigne à payer comme il se doit les soldats congolais, qu’il préfère voir réduits à l’état de semi-clochards, n’hésite pas par contre à faire bénéficier de ses largesses les mercenaires étrangers à sa solde en leur versant des rémunérations à faire pâlir de jalousie même les plus hauts gradés congolais.
Du côté de l’ANR et de la DEMIAP, les agents congolais constatent que le dictateur rwandais ne leur fait plus confiance. Il a constitué un service parallèle composé essentiellement d’étrangers auxquels il consacre désormais le budget réservé aux services officiels de l’Etat congolais.
Conséquence : les services de l’ANR et de la DEMIAP sont privés de leurs frais de fonctionnement !
Au lieu de geindre comme des chiots privés de nourriture maternelle, les agents des services spéciaux devraient lire les signes des temps et comprendre que ces faits arrivent pour faire tomber les écailles de leurs yeux afin de voir et comprendre que le moment est venu pour eux de réaliser qu’ils ne survivront pas à l’occupation de notre pays !
Ils seront les premières victimes à être éliminées parce qu’ils constitueront un danger certain pour les occupants. Leur statut de collabo qui les rend encore utiles aujourd’hui deviendra plutôt un motif pour leur neutralisation. Un homme averti en vaut deux!
Paris, le 29 Mai 2013
Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE
Joseph Kabila - President sortant de RDC
Jamais Chef d’Etat n’a vécu en clandestinité dans "son" pays comme « Joseph Kabila » en RDC. Jamais leader politique n’a autant eu peur du peuple qui est sensé l’avoir élu comme l’est le fils d’Adrien Kanambe vis-à-vis du peuple congolais.
Mobutu qu’on disait dictateur sanguinaire organisait chaque année au moins un «rassemblement populaire» devant une foule de centaines de milliers de congolais, suivi d’un bain de foule.
Vous voulez connaître la différence ?
L’un était un leader congolais parmi les siens, tandis que l’autre est un imposteur étranger dans un pays occupé. Il a beau avoir des collabos congolais et des griots qui chantent dans les médias pour le magnifier, Kanambe reste un dictateur rwandais sous la peau d’un président congolais !
Et comme l’habit ne fait pas le moine, Hyppolite Kanambe ne se sent pas à l’aise dans l’abbaye où il est cloitré.
La pression du peuple congolais qui se réveille de partout n’arrange pas son sort. Bien qu’il ait éloigné presque tous les militaires autochtones congolais du cercle de sa protection rapprochée, l’homme sent la mort planer à tout moment sur sa tête. Il conduit son véhicule lui-même car il n’a pas confiance aux chauffeurs militaires congolais.
Les mercenaires rwandais et tanzaniens autour de lui ne maîtrisent pas encore bien les rues cabossées de Kin-la-poubelle et surtout pas, sans lumière pendant la nuit. Chaque soir, il change de lieu plusieurs fois avant de s’échapper seul avec deux « anges » gardiens rwandais dans son véhicule pour une destination inconnue de tous. Un vrai calvaire.
Depuis qu’il a à nouveau échappé à quelques boulets au début du mois de mai, Kanambe a redoublé de vagabondage pour tenter de semer ses poursuivants réels et imaginaires. Car l’homme est tombé dans la paranoïa.
Et depuis une semaine, l’imposteur a déserté toutes ses cachettes pour venir loger dans les enceintes… du Palais du Peuple, siège officiel du Parlement congolais ! Il occupe les bureaux réservés au Chef d’Etat qu’il a transformés en logement de circonstance. L’environnement du Palais du Peuple semble lui procurer un certain répit. Pour combien de temps ?
La tension au sein de l’armée monte irréversiblement. La majorité des officiers et des militaires congolais ne décolère plus depuis qu’elle découvre chaque jour le jeu hypocrite de son « commandant suprême » qui compose avec l’ennemi au front à l’Est de la RDC et sacrifie chaque jour les fils et filles du pays sur l’autel des occupants ougandais et rwandais.
Kanambe qui rechigne à payer comme il se doit les soldats congolais, qu’il préfère voir réduits à l’état de semi-clochards, n’hésite pas par contre à faire bénéficier de ses largesses les mercenaires étrangers à sa solde en leur versant des rémunérations à faire pâlir de jalousie même les plus hauts gradés congolais.
Du côté de l’ANR et de la DEMIAP, les agents congolais constatent que le dictateur rwandais ne leur fait plus confiance. Il a constitué un service parallèle composé essentiellement d’étrangers auxquels il consacre désormais le budget réservé aux services officiels de l’Etat congolais.
Conséquence : les services de l’ANR et de la DEMIAP sont privés de leurs frais de fonctionnement !
Au lieu de geindre comme des chiots privés de nourriture maternelle, les agents des services spéciaux devraient lire les signes des temps et comprendre que ces faits arrivent pour faire tomber les écailles de leurs yeux afin de voir et comprendre que le moment est venu pour eux de réaliser qu’ils ne survivront pas à l’occupation de notre pays !
Ils seront les premières victimes à être éliminées parce qu’ils constitueront un danger certain pour les occupants. Leur statut de collabo qui les rend encore utiles aujourd’hui deviendra plutôt un motif pour leur neutralisation. Un homme averti en vaut deux!
Paris, le 29 Mai 2013
Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE
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