Julien Assange vu par Glez. © Glez
Plus de deux ans après avoir mis en ligne des centaines de documents confidentiels émanant du département d'État américain, l'organisation de Julian Assange récidive. Sélection de quelques "pépites" continentales.
La justice suédoise a lancé contre lui un mandat d'arrêt pour une sombre affaire de viol, et l'ambassade d'Équateur à Londres lui accorde l'asile politique depuis dix mois, mais le sulfureux Australien Julian Assange continue de sévir.
Plus de deux ans après avoir tiré sa première salve, le site de l'organisation WikiLeaks, dont cet ancien hacker surdoué est le principal responsable, vient de récidiver en deux temps : une nouvelle fournée de documents du département d'État américain classés « secret » ou « confidentiel » datant des années 2000 et les « Kissinger cables », télégrammes nettement plus anciens puisqu'ils remontent à l'époque où Henry Kissinger dirigeait le département d'État (de 1973 à 1977), mais dont la valeur historique est considérable.
Dans cette moisson de dépêches, où les diplomates américains se livrent sans retenue ni pudeur, J.A. a sélectionné quelques « pépites africaines » que nous vous donnons à lire cette semaine.
Ces câbles, souvent passionnants pour leur contenu informatif, nous renseignent aussi sur le prisme à travers lequel la diplomatie la plus puissante du monde observe et analyse nos pays et ceux qui les dirigent. Résultat ? Un étonnant cocktail d'ingénuité et de subjectivité, d'erreurs et de professionnalisme, de petites rumeurs et de vrais secrets d'État.
Voir, pays par pays, les révélations de Wikileaks :
ALGÉRIE
- Dans la chambre de Boumédiène
- Quand Bouteflika négociait avec Carlos
CAMEROUN
- Biya songe à sa retraite
LIBYE
- Kaddafi, botox et intox
GABON
- L'agonie d'Omar et le stress d'Ali
RDC
- Comment Joseph Kabila a été fait roi
TUNISIE
- Ben Ali et le "génie des Carpathes"
- La face cachée d'Aliko Dangote
François Soudan
Jeuneafrique.com
Plus de deux ans après avoir mis en ligne des centaines de documents confidentiels émanant du département d'État américain, l'organisation de Julian Assange récidive. Sélection de quelques "pépites" continentales.
La justice suédoise a lancé contre lui un mandat d'arrêt pour une sombre affaire de viol, et l'ambassade d'Équateur à Londres lui accorde l'asile politique depuis dix mois, mais le sulfureux Australien Julian Assange continue de sévir.
Plus de deux ans après avoir tiré sa première salve, le site de l'organisation WikiLeaks, dont cet ancien hacker surdoué est le principal responsable, vient de récidiver en deux temps : une nouvelle fournée de documents du département d'État américain classés « secret » ou « confidentiel » datant des années 2000 et les « Kissinger cables », télégrammes nettement plus anciens puisqu'ils remontent à l'époque où Henry Kissinger dirigeait le département d'État (de 1973 à 1977), mais dont la valeur historique est considérable.
Dans cette moisson de dépêches, où les diplomates américains se livrent sans retenue ni pudeur, J.A. a sélectionné quelques « pépites africaines » que nous vous donnons à lire cette semaine.
Ces câbles, souvent passionnants pour leur contenu informatif, nous renseignent aussi sur le prisme à travers lequel la diplomatie la plus puissante du monde observe et analyse nos pays et ceux qui les dirigent. Résultat ? Un étonnant cocktail d'ingénuité et de subjectivité, d'erreurs et de professionnalisme, de petites rumeurs et de vrais secrets d'État.
Voir, pays par pays, les révélations de Wikileaks :
ALGÉRIE
- Dans la chambre de Boumédiène
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