on Dimanche, août 5, 2012
Une histoire bien connues des gouvernements des trois pays et, à l’issue d’une enquête menée par notre correspondant basé en Afrique, après avoir séjourné dans les capitales de ces pays que sont : le Gabon, le Congo-Brazzaville et le Cameroun, la situation a pris de l’ampleur depuis près d’une décennie.
Que faire lorsque leurs époux sont sous-payés et que d’autres sont en chômage en attendant de voir un jour le bout du tunnel ?
Ces trois pays que sont le Gabon, le Cameroun et le Congo Brazzaville en Afrique centrale, sont des pays qui émergeraient, tant leurs économies respectives semblent donner un espoir pour que tous aient eu du travail pour bien vivre.
Les trois pays renferment de grandes ressources naturelles tant du sol que du sous-sol. Cependant, l’argent volé par des dignitaires du pouvoir dans les trois pays, fait que ce même argent soit radicalement concentré dans les mains d’une classe minoritaire formés d’escrocs au pouvoir et qui affament les ¾ de la population.
Dans ces trois pays, les salaires des enseignants, des infirmiers et d’autres fonctionnaires d’autres secteurs d’activités, n’atteignent pas 200.000 frs CFA.
Par contre dans les armées des trois pays, on trouve des militaires gagnant une solde de plus de 200.000 frs pour des simples sergents, et s’il vous plait, les généraux d’active ou retraités gagnent à chacun une solde de plus d’un million de frs CFA, et dotés d’une à deux voitures de fonction.
Tandis que les salaires des médecins n’atteignent guère 1 million de frs CFA. Avec le coût de la vie, il y’a un total déséquilibre de la vie entre les salaires amenuisés et la cherté des loyers, des vivres etc.
En un mot les citoyens ou les travailleurs ne vivent pas, ils vivotent. Ainsi pour joindre les deux bouts, les gens doivent parfois verser dans des activités douteuses. Comme tout le monde le sait, même après avoir fait des longues études, lorsque le salaire ne correspond pas à votre cursus, on est facilement soumis à des nombreuses et innommables tentations.
La prostitution devient également légion pour des femmes mariées. Suivez mon regard !
Au Gabon, au Congo et au Cameroun, la richesse pétrolière dans ces pays a fait naître des grands escrocs : chefs d’entreprises des sociétés pétrolières qui opèrent parfois sans fois ni lois, ont, avec la complicité des gouvernements séculaires des Bongo, des Sassou et Biya, institué des grilles salariales très minables et, de ce fait, les gens sont obligés de s’en contenter.
Ce sont pourtant des salaires de misères ayant des répercutions directes dans les ménages gabonais, congolais et camerounais. Du coup, il y’a problème. Que font les femmes mariées à ce moment-là ? Elles courent le risque de se prostituer.
L’enquête de notre confrère est très édifiante. Il y’a des salaires de misère chez un bon nombre d’enseignants et infirmiers, alors que ceux des régis financières : douanes, contributions directes ou indirectes, trésor public, des gens caracolent des grands salaires très élevés qu’on se demande pourquoi cette disparité ?
Quant aux armées : gabonaise, congolaise et camerounaise, on a comme l’impression que c’est la seule branche d’activité où des généraux gagnent une solde de plus de 1.000.000 de frs CFA par mois. Qu’est ce qu’ils font comme travail pour gagner tout cet argent qui devient comme un grand détournement ?
Comme conséquences directes dans cette mafia, les femmes mariées des militaires subalternes se prostituent tout le temps dans les boxons situés autour des marchés où les commerçants les prennent en charge.
Il n’est pas rare de voir des femmes des enseignants et des femmes des infirmiers se rendre au marché bras-ballants sans un petit sac sans argent, mais rentrées à la maison bien nanties de victuailles offertes par leurs amants du marché ou alors par des grands patrons de la place. Tout ce qu’elles rapportent fait le bonheur du foyer alors que c’est le résultat de la prostitution.
On comprend tout de suite que les gouvernements du Gabon, du Congo-Brazzaville et du Cameroun, sont responsables de la situation des femmes mariées qui font de la prostitution à ciel ouvert, parce que des ministres, des directeurs d’entreprises d’État, nommés par affinité familial ont excellé par le vol en s’accaparant de tout l’argent du peuple.
Alors, tous les citoyens dans ces trois pays, doivent marcher pour combattre le vol, la concussion, la prévarication et la corruption afin que tous puissent légalement de l’argent de toutes les richesses du pays en ayant ne fut-ce que du travail surtout du côté des femmes qui n’ont d’autre moyens de survie que se livrer à la prostitution.
C’est un phénomène de société dont les causes sont bien connues : la mauvaise politique sociale des dirigeants de ces trois pays pris comme exemple, car l’enquête qui a été faite à peine au mois de mars 2011 est bien arrivée à une conclusion irréfutable. N’oublions pas que c’est de cette façon que certaines maladies transmissibles sexuellement, inondent les villes africaines.
Cette enquête ferait réfléchir les requins de la république : au Gabon, au Congo-Brazzaville et au Cameroun et dans toute l’Afrique. Il faut que ça change ! Ça suffit comme ça !
source : Gervais Mboumba
Une histoire bien connues des gouvernements des trois pays et, à l’issue d’une enquête menée par notre correspondant basé en Afrique, après avoir séjourné dans les capitales de ces pays que sont : le Gabon, le Congo-Brazzaville et le Cameroun, la situation a pris de l’ampleur depuis près d’une décennie.
Que faire lorsque leurs époux sont sous-payés et que d’autres sont en chômage en attendant de voir un jour le bout du tunnel ?
Ces trois pays que sont le Gabon, le Cameroun et le Congo Brazzaville en Afrique centrale, sont des pays qui émergeraient, tant leurs économies respectives semblent donner un espoir pour que tous aient eu du travail pour bien vivre.
Les trois pays renferment de grandes ressources naturelles tant du sol que du sous-sol. Cependant, l’argent volé par des dignitaires du pouvoir dans les trois pays, fait que ce même argent soit radicalement concentré dans les mains d’une classe minoritaire formés d’escrocs au pouvoir et qui affament les ¾ de la population.
Dans ces trois pays, les salaires des enseignants, des infirmiers et d’autres fonctionnaires d’autres secteurs d’activités, n’atteignent pas 200.000 frs CFA.
Par contre dans les armées des trois pays, on trouve des militaires gagnant une solde de plus de 200.000 frs pour des simples sergents, et s’il vous plait, les généraux d’active ou retraités gagnent à chacun une solde de plus d’un million de frs CFA, et dotés d’une à deux voitures de fonction.
Tandis que les salaires des médecins n’atteignent guère 1 million de frs CFA. Avec le coût de la vie, il y’a un total déséquilibre de la vie entre les salaires amenuisés et la cherté des loyers, des vivres etc.
En un mot les citoyens ou les travailleurs ne vivent pas, ils vivotent. Ainsi pour joindre les deux bouts, les gens doivent parfois verser dans des activités douteuses. Comme tout le monde le sait, même après avoir fait des longues études, lorsque le salaire ne correspond pas à votre cursus, on est facilement soumis à des nombreuses et innommables tentations.
La prostitution devient également légion pour des femmes mariées. Suivez mon regard !
Au Gabon, au Congo et au Cameroun, la richesse pétrolière dans ces pays a fait naître des grands escrocs : chefs d’entreprises des sociétés pétrolières qui opèrent parfois sans fois ni lois, ont, avec la complicité des gouvernements séculaires des Bongo, des Sassou et Biya, institué des grilles salariales très minables et, de ce fait, les gens sont obligés de s’en contenter.
Ce sont pourtant des salaires de misères ayant des répercutions directes dans les ménages gabonais, congolais et camerounais. Du coup, il y’a problème. Que font les femmes mariées à ce moment-là ? Elles courent le risque de se prostituer.
L’enquête de notre confrère est très édifiante. Il y’a des salaires de misère chez un bon nombre d’enseignants et infirmiers, alors que ceux des régis financières : douanes, contributions directes ou indirectes, trésor public, des gens caracolent des grands salaires très élevés qu’on se demande pourquoi cette disparité ?
Quant aux armées : gabonaise, congolaise et camerounaise, on a comme l’impression que c’est la seule branche d’activité où des généraux gagnent une solde de plus de 1.000.000 de frs CFA par mois. Qu’est ce qu’ils font comme travail pour gagner tout cet argent qui devient comme un grand détournement ?
Comme conséquences directes dans cette mafia, les femmes mariées des militaires subalternes se prostituent tout le temps dans les boxons situés autour des marchés où les commerçants les prennent en charge.
Il n’est pas rare de voir des femmes des enseignants et des femmes des infirmiers se rendre au marché bras-ballants sans un petit sac sans argent, mais rentrées à la maison bien nanties de victuailles offertes par leurs amants du marché ou alors par des grands patrons de la place. Tout ce qu’elles rapportent fait le bonheur du foyer alors que c’est le résultat de la prostitution.
On comprend tout de suite que les gouvernements du Gabon, du Congo-Brazzaville et du Cameroun, sont responsables de la situation des femmes mariées qui font de la prostitution à ciel ouvert, parce que des ministres, des directeurs d’entreprises d’État, nommés par affinité familial ont excellé par le vol en s’accaparant de tout l’argent du peuple.
Alors, tous les citoyens dans ces trois pays, doivent marcher pour combattre le vol, la concussion, la prévarication et la corruption afin que tous puissent légalement de l’argent de toutes les richesses du pays en ayant ne fut-ce que du travail surtout du côté des femmes qui n’ont d’autre moyens de survie que se livrer à la prostitution.
C’est un phénomène de société dont les causes sont bien connues : la mauvaise politique sociale des dirigeants de ces trois pays pris comme exemple, car l’enquête qui a été faite à peine au mois de mars 2011 est bien arrivée à une conclusion irréfutable. N’oublions pas que c’est de cette façon que certaines maladies transmissibles sexuellement, inondent les villes africaines.
Cette enquête ferait réfléchir les requins de la république : au Gabon, au Congo-Brazzaville et au Cameroun et dans toute l’Afrique. Il faut que ça change ! Ça suffit comme ça !
source : Gervais Mboumba
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