dimanche 22 septembre 2013

Ray Lema Quintet Matongue

"Frère et sœur de …."


La fratrie "Kabila" 


Lorsqu’on parcourt «Grand Lac Magazine» (GLM), édité à Londres par le très kabiliste Sam Mpengo Mbey, ce qui frappe d’abord c’est le culte de la personnalité entretenu autour du «président raïs», alias «Papa Roméo», alias «la haute hiérarchie», alias le «garant de la nation» et commandant suprême de l’appareil sécuritaire de la République très très démocratique du Congo. 


Ce qui frappe ensuite c’est l’étalage de la «réussite personnelle» ou l’ascension sociale des membres de la nomenklatura dont la grande majorité est sortie du néant. Des parvenus, quoi! 

Tirés à quatre épingles, ventrus, rigolards, ces messieurs et dames sont content de leur sort. Ils affichent une opulence choquante face à la misère qui accable la multitude. 

Ce qui frappe enfin c’est que la République très très démocratique du Congo est dépeint comme un paradis où coule le lait et le miel. Dans le supplément du GLM diffusé à l’occasion du 30 juin 2013, j’ai découvert une «pub». 

La pub d’un nouveau restaurant «VIP» (Very important person). «O’Café». C’est le nom de cet estaminet. 

Devinez qui en est l’heureux propriétaire ? Vous n’y parvenez pas ? Le nom est pourtant simple : Zoé «Kabila». Le frère de l’autre. 

Après avoir lancé un centre omnisport, «Le Shark Club XI», dans la concession de l’Athenée de la Gombe, celui que certains Kinois appellent par ironie « Monsieur frère" ou "le frère de… " vient d’ajouter un nouvel établissement dans son écurie juste en face de l’ex-hôtel Intercontinental sur l’avenue Batetela. 

Où a-t-il trouvé de l’argent nécessaire pour cet investissement dans un pays les banquiers ne font pas crédit? 

Deux invités de marque étaient présents lors de l’inauguration de ce cadre huppé : le président de l’Assemblée national, Aubin Minaku et le gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta. Deux bambochards bien connus. 

Sept années après son apparition publique à Kin, Zoé «Kabila» reste un mystère pour les Kinois. Janet, mêmement. Inutile de parler du «président raïs». Quelle étrange famille!

Selon mon ami qui sait tout sur tout et presque tout sur rien sur les potins de Kinshasa-Lez-Immondices, Jaynet et Zoé n’ont jamais été présentés du vivant de «Mzee» comme étant ses gosses. 


Jaynet a été connu du grand public au même moment que Sifa Mahanya, la mère putative du «raïs». C’était en janvier 2001, au lendemain de l’assassinat du «soldat du peuple». 

A en croire mon ami, Zoé a été aperçu pour la première sur le sol des Kongomani en 2006 quelques mois avant l’organisation du premier tour de l’élection présidentielle. 

L’ami de rappeler que «Joseph», né, semble-t-il, en 1972, à «Hewa Bora II», une localité introuvable sur la carte du Congo, est arrivé au Zaïre de Seseskul au plutôt en novembre 1996 et au plus tard en janvier 1997 au moment où son «boss», James Kabarebe, alors colonel, prenait le commandement des troupes de l’AFDL après l’assassinat du «général» André Kisase Ngandu.

Mon ami qui est une véritable «encyclopédie» de me relater quelques facettes de la personnalité de Zoé. 


«Les Kinois se demandent où ce jouisseur, très proche de Noël Ngiama Werrason et de JB Mpiana, a pu trouver de l’argent pour monter son business», dit-il en guise d’introduction. 

L’ami de se souvenir que le frangin de «la haute hiérarchie» avait commencé par lancer une société dénommée «Aesis». 

Une «boîte» spécialisée dans les «imprimés de valeur» (timbres fiscaux, permis de conduire, plaques d’immatriculation et tout document valant espèces.). D’où provenait le capital ? Mystère.

«Arrivé au Congo de fraîche date, Zoé parle un swahili compliqué», assure mon ami. 


Il semble qu’il est toujours flanqué d’un interprète. Durant plusieurs années, la frangine Jaynet ne s’exprimait, elle, que dans la langue de Shakespeare. 

Une situation qui étonnait plus d’un interlocuteur : «Comment se fait-il que le Mzee parlait un français parisien et que ses prétendus enfants ne manient que le swahili d’Afrique de l’Est et l’anglais ? »

Mauvaise langue, mon ami sort littéralement l’artillerie lourde. «Il n’y a aucune noblesse dans le comportement de Zoé», lance-t-il avant d’égrener les extravagances de «Monsieur Frère» : en avril 2010, il a fait déguerpir 


«DomSak» (Dominique Sakombi-Inongo) de sa villa à Ma campagne sous prétexte qu’il en était le propriétaire; lors de l’attaque de la résidence du général Faustin Munene, en septembre 2010, Zoé et Jaynet ont été reconnus parmi les soudards de la garde prétorienne de leur raïs de frère ; le 19 octobre 2010, Zoé a fait tabasser les policiers Yandu et Mukoyo chargés de régler la circulation sur le boulevard du 30 juin au rond-point Socimat. «Intouchable, Zoé n’a pas été poursuivi», murmure mon ami.

Mon ami qui semble avoir une « dent » contre la «fratrie Kabila» de parler enfin de «Jaynet» que les flagorneurs du «clan» et autres pique-assiettes ne désignent plus que par deux mots : «la vénérable». 


"La vénérable Jaynet". Sans doute que les titres "honorable" et "excellence" sont devenus ringards. Selon mon ami, la frangine du « raïs » est soupçonnée par l’Interpol d’avoir négocier de l’uranium avec quelques Etats voyous. 

C’est le cas de l’Iran des Ayatollahs et de la Corée du Nord du leader bien aimé.

L’associé de « Madame sœur » ne serait autre que le très peu recommandable Zimbabwéen blanc Billy Rautenbach et sa firme Camec. 

A en croire mon ami, la Fondation Mzee LD Kabila, dirigée dans une totale opacité par Jaynet, sert de couverture pour des opérations illicites de la fratrie dont du blanchiment d’argent.

Mon ami de lancer : «En dépit de leur comportement criminel, Jaynet et de Zoé «Kabila» se sont faits élire en novembre 2011 députés nationaux respectivement à Kalemie et à Manono où ils ne possèdent aucune adresse connue».


Il conclut enfin : «Zoé et Jaynet n’ont aucun mérite. Leur enrichissement découle de leurs titres de frère et de sœur de… ». 

L’ami de citer un philosophe français : «Les nobles sont comme des livres : il en est beaucoup qui ne brillent que par leurs titres… ». Traduction : Tout ce qui brille n’est pas de l’or! 
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Issa Djema
© Congoindépendant

Kenya : les forces spéciales israéliennes interviennent à Nairobi

22/09/2013


Des soldats des forces spéciales kényanes à l’extérieur du centre commercial Westgate. © AFP

Des forces spéciales israéliennes ont pénétré dimanche dans le centre commercial de Nairobi Westgate pour tenter de mettre fin au siège du bâtiment et secourir les blessés et les otages retenus depuis samedi par un commando islamiste.

Des forces spéciales israéliennes ont pénétré dimanche dans le centre commercial de Nairobi Westgate pour tenter de mettre fin au siège du bâtiment et secourir les blessés et les otages retenus depuis samedi par un commando islamiste.

"Les Israéliens viennent d'entrer et ils secourent les otages et les blessés," a indiqué à l'AFP une source sécuritaire sous couvert d'anonymat.

"C'est la raison pour laquelle des ambulances sont parties" vers le centre commercial, a précisé cette source, laissant entendre qu'il y aurait très vraisemblablement de nouvelles victimes.

Le "Westgate Mall" est réputé être en partie la propriété d'Israéliens. Interrogé par l'AFPà Jérusalem, le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères, Paul Hirschson, n'a pas souhaité commenter.

"Nous n'avons pas pour habitude de commenter une quelconque opération conjointe de sécurité qui pourrait ou non être en cours". A l'intérieur du centre commercial, la confrontation dure depuis 24 heures entre le commando islamiste et les forces kényanes.

L'attaque, qui a fait au moins 59 morts selon le gouvernement kényan, a débuté samedi après-midi, alors que le centre commercial était bondé de Kényans et d'expatriés venus faire leurs courses du week-end ou qui étaient attablés aux terrasses de cafés.

Deux Françaises, une mère et sa fille, sont décédées, tout comme un célèbre poète et homme d'Etat ghanéen, Kofi Awoonor, 78 ans.

Des Américains, très vraisemblablement des Britanniques et de nombreux autres Occidentaux -cibles privilégiés des assaillants- figurent parmi les blessés, estimés à 175, toujours selon les autorités kényanes.

Selon le ministre de l'Intérieur, 10 à 15 agresseurs étaient retranchés dimanche matin dans le centre commercial, cernés par les forces de sécurité et détenant un nombre indéterminé d'otages.

"Les assaillants tiraient dans le tas"

"Nous pensons qu'il y a des personnes innocentes dans le bâtiment, c'est pourquoi l'opération est délicate", a expliqué le ministre Joseph Ole Lenku, faisant par ailleurs état de 175 blessés.

"Notre hôpital est complètement plein, nous avons été contraints d'envoyer des patients vers d'autres établissements", a indiqué, sous couvert d'anonymat, un médecin de l'hôpital M.P. Shah, proche du centre Westgate, et où tout le personnel en congé a été rappelé d'urgence.

Le commando islamiste a pénétré samedi en début d'après-midi dans le centre commercial, ouvrant le feu à l'arme automatique et à la grenade sur la foule d'un millier de clients et d'employés du centre.

Jusque dans la soirée, alors que les affrontements se poursuivaient, clients apeurés et employés traumatisés, piégés dans le centre, ont continué d'en émerger par petits groupes, au fur et à mesure de la lente progression des forces de l'ordre. 


Blessés et cadavres ensanglantés ont été évacués par les services de secours.

Egalement épaulés par des membres en civil des services de sécurité des chancelleries occidentales, policiers et militaires kényans ont tenté prudemment de cerner les assaillants dans un labyrinthe de boutiques en tout genre où il est aisé de se cacher ou de se retrancher.

Il s'agit de l'attentat le plus meurtrier à Nairobi depuis une attaque-suicide d'al-Qaïda en août 1998 contre l'ambassade américaine, qui avait fait plus de 200 morts.

L'attaque du Westgate a été revendiqué dans la soirée par les shebab somaliens, liés à Al-Qaïda, qui l'ont présentée comme une opération de représailles à l'intervention des troupes kényanes en Somalie, lancée fin 2011.

Une employée du centre commercial, Zipporah Wanjiru, qui a réchappé à l'attaque en se cachant sous une table avec des collègues, était en état de choc.

Les agresseurs "tiraient dans le tas, c'était comme un film de voir les gens sous des pluies de balles comme ça," a-t-elle raconté en larmes. "Je servais des clients quand ces hommes sont arrivés," a renchéri un autre employé, Titus Alede.

"Ils ne voulaient pas d'argent, ils tiraient sur les gens sans rien demander. Je me souviens qu'ils ont dit +vous avez tué notre peuple en Somalie, c'est à votre tour de payer+".

Une cible idéale et facile

Ouvert en 2007, le Westgate compte des restaurants, des cafés, des banques, un grand supermarché et un cinéma multiplexe qui attirent des milliers de personnes chaque jour.

Dans une capitale connue comme le "hub" de l'Afrique de l'Est, où vivent de nombreux expatriés rayonnant dans toute la région, l'endroit était régulièrement cité par les sociétés de sécurité comme une cible possible de groupes liés à Al-Qaïda - tels les insurgés shebab.

Et la configuration des lieux - vaste terrasse donnant sur la rue, multiples entrées, parkings aérien et souterrain- se prêtait de fait particulièrement à une attaque.

Washington a dénoncé un acte "ignoble". La présidence française a dénoncé ce "lâche attentat", également condamné unanimement par les quinze pays membres du Conseil de sécurité de l'ONU.

"Le Kenya ne se laissera pas intimider par le terrorisme", a réagi dans la nuit le président kényan Uhuru Kenyatta, qui a précisé avoir "personnellement perdu des membres de sa famille" dans le drame.

"Ce que les Kényans voient à Westgate, c'est de la justice punitive pour les crimes commis par leurs soldats" en Somalie "contre les musulmans", ont eux écrit les shebab sur leur compte Twitter.

"Le message que nous envoyons au gouvernement et à la population kényane est et sera toujours le même: retirez toutes vos forces de notre pays", ont-il ajouté, avant que leur compte ne soit suspendu dans la nuit.

L'armée kényane était entrée en Somalie en 2011 et se maintient depuis dans le sud du pays, dans le cadre d'une force africaine soutenant le gouvernement somalien qui a infligé de nombreuses défaites aux islamistes.

"Seuls les infidèles ont été tués", ont prétendu les shebab, affirmant que leurs "moujahidines" avaient épargné les musulmans présents sur place en les "escortant" hors du centre.
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AFP

Pourquoi Kagamé et le M23 insistent-ils pour la création d’une zone tampon autour de Rutshuru ?

Voici les trois documents-réponses!

C’est depuis neuf ans que ces documents-preuves ont été livrées à l’opinion internationale et nationale congolaise par un fils du pays, et pas des moindres, à travers des nombreux documents accablants dont nous vous livrons ici trois d’entre eux pour mettre en évidence la constance du plan diabolique de l’intelligentsia tutsi contre l’intégrité de la République Démocratique du Congo. 



Cependant, malgré la diffusion de ces documents, la forte propagande des lobbies tutsis au sein des organismes internationaux, à travers les chancelleries occidentales et dans les milieux politiques congolais ont tout fait pour étouffer cette vérité alarmante. 


Le gouvernement rwandais est allé jusqu’à organiser une grande opération à travers les librairies d’Europe, d’Afrique et des Etats-Unis pour acheter massivement tous les livres «Crimes organisés en Afrique centrale. 

Révélations sur les réseaux rwandais et occidentaux» d’Honoré Ngbanda, peu après sa sortie en 2004. Mais quoiqu’ils fassent pour l’étouffer ou la noyer, la vérité, très têtue, finit toujours par émerger à la surface et briller comme le soleil au grand jour! 


 

Soulignons d’emblée que tous ces documents dont chaque lecteur peut lire la copie authentique et exhaustive (avec cachets et signatures) dans le livre «Crimes organisés en Afrique centrale» n’ont jamais été contestés ni par leurs auteurs, ni par leurs destinataires depuis leur diffusion en 2004 jusqu’à ce jour. Il appartient plutôt aux congolais d’en tirer aujourd’hui toutes les leçons à la lumière des événements qui se passent sous leurs yeux à l’Est de la République.

Voici reproduits pour vous les extraits de ces trois documents-preuves avec leurs références :

1. La lettre du 3 novembre 1972 de Monsieur KINYONI NSUABO, Chef de collectivité des Barundi dans la Zone d’Uvira adressée au Mwami NDEZE (d’origine rwandaise), Chef de collectivité à Rutshuru : (Honoré Ngbanda : Crimes organisés en Afrique centrale. Révélations sur les réseaux rwandais et occidentaux: Annexes N°7, pp399-400) : l’objet de la lettre : «Union,Infiltration et Intégration» (sic) :

«J’ai l’honneur de venir vous demander de faire une forte mobilisation auprès de vos administrés de souche rwandaise et burundaise sans tenir compte d’ethnie tutsi et hutu pour que l’infiltration des autres soit massive et pour que nous constituions la majorité.

Grand Mwami, la fonction que nous occupons facilitera l’inondation de notre population dans toutes les confréries du Sud et du Nord-Kivu en débordant le Kibal Ituri et la Tanganika.

Lors de notre dernière réunion, il a été convenu que notre communauté sache comment déstabiliser leurs chefs autochtones en leurs divisant pour anéantir leurs actions et asservir leurs populations »

2. La lettre des représentants des «Populations originaires du Rwanda au Zaïre» du 20 juin 1981 adressée au Secrétaire Général de l’ONU pour réclammer la nationalité zaïroise et l’autodétermination de la province du Kivu en tant qu’Etat autonome en leur faveur (Op. cit. : Annexe N° 1, pp386-387):

«…Monsieur le Secrétaire Général des Nations-Unies, nous nous permettons de rappeler à votre haute attention les dispositions universelles de droit de l’homme garanties par les Nations-Unies. Nous n’acceptons pas d’être dépouillés de la nationalité zaïroise à laquelle nous avons droit depuis 1972. C’est la raison pour laquelle nous vous demandons d’intervenir auprès du gouvernement zaïrois pour que, en accord avec les populations des zones, l’autodétermination soit organisée dans les zones de Goma, Rutshuru, Walikale, Masisi, Kalehe et Idjwi, qui après le referendum sous l’égide des Nations-Unies et de l’Organisation de l’Unité Africaine, constituera un Etat à part qui aura à solliciter sa reconnaissance internationale.

Il ne s’agit pas d’une aventure ou d’une subversion, mais bien d’une mobilisation générale des populations originaires du Rwanda en République du Zaïre qui sensibilisent les autorités internationales sur leur légitime cause, quelles que soient les conséquences qui en découlent…»

3. Le Rapport du 20 février 2004 de l’administrateur du territoire de Minembwe, Monsieur MUGAZA RUSERUKA Théo, adressé au Vice-Président de la République du Congo (du Gouvernement 1+4), Monsieur Azarias RUBERWA:(Op. cit. Annexe N°17, pp434-435) :

«…Suites aux lettres que nous vous avions écrites, vous informant des quelques points que nous avions décidés lors de nos réunions tenues à Minembwe le 04 Décembre 2003 et à Kigali le 06 janvier 2004, nous vous signalons que nous sommes prêts à exécuter ces points.

A savoir: 

  • L’implantation du Territoire de Minembwe dans la province du Sud Kivu
  • Imposer nos autorités partout dans le Sud Kivu
  • Prendre le contrôle du Lac Tanganyika et du Lac Kivu
  • Contrôler tous les minerais dans la province du Sud Kivu »
La lecture attentive de ces trois documents authentiques, tous écrits par des responsables politiques et administratifs tutsis rwandais et burundais atteste sans équivoque leur volonté et leur ferme détermination à annexer les terres congolaises du Nord et du Sud Kivu, à asservir les populations congolaises autochtones et à exploiter toutes les richesses du sol et du sous-sol congolais au profit de leur mère patrie: le Rwanda! 

Ces documents révèlent aussi clairement le modus operandi des stratèges rwandais à travers des réunions qu’ils tiennent depuis 1972, tantôt à Kigali et tantôt dans le Kivu même en RDC.

Ainsi, les assassinats massifs des millions de Congolais dans le Kivu par les militaires et les miliciens rwandais depuis 1996 à ce jour, l’extermination systématique des femmes congolaises par l’arme du sida et du viol massif et brutal en détruisant particulièrement leurs organes génitaux répond à l’objectif des plans conçus à travers ces documents :

celui d’exterminer progressivement les populations congolaises autochtones du Kivu pour les substituer par les populations rwandaises massivement injectées dans la même région sous fausses identités congolaises. 


L’absence de la carte d’identité congolaise est un élément de la stratégie appliquée par «Joseph Kabila» et Paul Kagamé pour faciliter cette fraude massive d’identité congolaise par les populations rwandaises infiltrées.

En réclamant à cor et à cri la constitution d’une zone tampon autour de Rutshuru, Kagamé et ces pions au sein du M23 veulent seulement créer les conditions préalables favorables à la balkanisation du Kivu. 


Cette zone tampon ouvrira ainsi les portes des territoires déjà sous contrôle du Rwanda via le M23 pour lui permettre de déverser massivement sur notre territoire des populations rwandaises dont le M23 réclame le «rapatriement» comme s’il s’agissait des congolais réfugiés au Rwanda. 

Une fois cette étape d’infiltration accomplie, les conditions seront donc requises pour Kagamé qui bénéficie d’une forte complicité au sein de l’ONU pour réclamer le referendum en vue de l’autodétermination des «congolais des territoires concernés». Et le tour sera joué !

Nous invitons, une fois de plus, l’élite congolaise, toutes tendances confondues, ainsi que toute la classe politique congolaise qui se laissent distraire par l’imposteur rwandais Hypolite Kanambe alias « Joseph Kabila » à travers les « concertations nationales», à tourner les yeux vers la bonne direction d’où nous vient le vrai danger. 


Personne au sein de l’agora du Palais du Peuple à Kinshasa ne saura arrêter le plan des rwandais avec des débats creux sur la constitution d’un gouvernement d’union nationale. 

Le danger vient de nos ennemis qui sont en passe de réussir le complot de balkanisation et de mise à mort de la République Démocratique du Congo, notre patrie !

Nous encourageons le peuple congolais du Kivu à intensifier la résistance et à soutenir les militaires congolais pour les pousser à tourner leurs armes contre le premier occupant de la RDC, Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila » et ses frères rwandais, afin de leur barrer la route et empêcher la réalisation de leur macabre projet. 


Car seul le peuple congolais a aujourd’hui le pouvoir, la force et le devoir de soutenir ses soldats pour l’aider à mettre un terme à l’imposture et à bouter dehors tous les envahisseurs de notre pays ! Nous sommes avec vous jusqu’à la libération!
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Paris, le 21 Septembre 2013
Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE

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RDC - M23 : Un accord à Kampala paraît improbable

22/09/2013

 

Raymond Tshibanda N'tungamulongo

Les pourparlers de Kampala amorcent leur dernière ligne droite. Mais, l’incertitude plane toujours sur la signature d’un éventuel accord, dans le délai de 14 jours convenus dans le cadre de la CIRGL. 


Des nouvelles en provenance de la capitale ougandaise sont plutôt alarmistes et font état d’une impasse entre les deux délégations. 

Le gouvernement et le M23 camperaient chacun sur leur position, rapportent des sources présentes à Kampala. A défaut d’un blocage, un accord à Kampala paraît de plus improbable – du moins dans les conditions actuelles.

Le président Joseph Kabila a confirmé son déplacement de New York où se tient, en marge de l’assemblée générale de l’ONU, une réunion spéciale sur la région des Grands Lacs. 


Le code de déverrouillage des pourparlers de Kampala, où se dessine déjà l’ombre d’une impasse entre Kinshasa et le M23, pourrait sortir du siège des Nations unies.

Les pourparlers de Kampala amorcent leur dernière ligne droite. Mais, l’incertitude plane toujours sur la signature d’un éventuel accord, dans le délai de 14 jours convenus dans le cadre de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL).

Des nouvelles en provenance de la capitale ougandaise sont plutôt alarmistes et font état d’une impasse entre les deux délégations. Le gouvernement et le M23 camperaient chacun sur leur position, rapportent des sources présentes à Kampala. 


A défaut d’un blocage, un accord à Kampala paraît de plus improbable – du moins dans les conditions actuelles.

La dernière sortie médiatique à Kinshasa du porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, a ravivé cette incertitude. Kinshasa s’est montré intransigeant sur certaines matières, notamment l’amnistie et l’intégration de certains militaires issus des rangs du M23. 


L’ULTIME SAUVETAGE

Kampala ayant montré ses limites, c’est à New York que les Nations unies tentent de désamorcer la bombe, dans l’objectif d’éviter un nouvel échec aux négociations entre les deux protagonistes. 


En marge de la 68ème assemblée générale des Nations unies, une réunion spéciale a été convoquée à New York sur la situation qui prévaut dans les Grands Lacs.

Le chef de l’Etat Joseph Kabila Kabange a annoncé sa participation à cette réunion. Il est donc attendu ce week-end à au siège des Nations unies où il prendra part aux travaux de la 68ème assemblée générale des Nations unies.

Kinshasa s’est bien préparé pour affronter les discussions de New York. Une réunion du Mécanisme national de suivi de l’accord-cadre d’Addis-Abeba a été d’ailleurs organisée le jeudi 19 septembre à la présidence de la République autour du chef de l’Etat. C’est la preuve du sérieux avec lequel le gouvernement entend aborder cette réunion de New York.

Kinshasa a-t-il bien ménagé sa monture pour aller loin ? La fin justifie les moyens, dit-on. La RDC ne devrait pas rater cette opportunité de faire triompher sa thèse, c’est-à-dire celle de l’agression dont elle est victime de la part de ses voisins rwandais et ougandais.

La délégation congolaise pourra dénoncer le soutien dont bénéficie le M23 dans la guerre qu’il mène contre les forces loyalistes dans la province du Nord-Kivu. 


D’autant que ce groupe armé, classé force négative, se livre également à des actes de violences, des crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Il s’agit, pour la RDC, de faire entendre sa voix et amener la communauté internationale non seulement à condamner cette guerre injuste, mais aussi à l’arrêter. Ce qui passe par, notamment, le désarmement du M23 et sa dissolution en tant que force négative et terroriste.

Pour certains observateurs, le succès de la réunion de New York dépendra de la volonté à cerner le mal qui déstabilise la région des Grands Lacs et la détermination à l’extirper. 


Nommer les régimes de Kigali et de Kampala comme fauteurs des troubles dans la sous-région serait de la lapalissade. 

Plusieurs rapports des experts des Nations unies les confirment. Toutefois, nommer le mal c’est bien, mais le combattre, c’est mieux. C’est ce que la population congolaise attend de l’ONU. La déstabilisation des Grands Lacs prend ses racines dans la convoitise des voisins de la RDC.

Depuis l’AFDL jusqu’au M23, le Rwanda et l’Ouganda ont mis en place une vaste entreprise de pillage des ressources de la RDC. Cela en entretenant toutes les rébellions et autres groupes armés qui pullulent dans la partie orientale de la RDC. 


Couper le cordon ombilical de Kigali et Kampala aux groupes armés qui écument les Grands Lacs serait résoudre une bonne partie de la crise. La réunion de New York ferait œuvre utile en empruntant cette voie.

Il est à noter qu’en marge des travaux de l’assemblée générale des Nations unies, il est fort possible qu’au niveau du Conseil de sécurité l’on puisse également faire le point du Mécanisme conjoint de vérification des frontières, mis en place dans le cadre de la CIRGL. 


MECANISME CONJOINT DE VERIFICATION DES FRONTIERES

Il y a lieu de rappeler que la Monusco a adhéré, début septembre 2013, au Mécanisme conjoint de vérification des frontières. A cette occasion, le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en RDC, Martin Kobler, s’était dit satisfait de la décision du 7ème sommet extraordinaire des pays membres de la CIRGL d’intégrer la Monusco dans le Mécanisme conjoint de vérification des frontières élargi à d’autres pays membres.

Cette décision a été prise le 5 septembre 2013 à Kampala, en Ouganda, au 7ème sommet des chefs d’Etat de la région des Grands Lacs. Elle permettra de rétablir la confiance entre les pays de la région. 


« J’espère que ce mécanisme de vérification pourrait se développer dans le temps et être plus efficace. Et nous avons une position très ferme dans le mécanisme. C’est la paix que nous voulons. Nous voulons que la guerre finisse et que les viols en masse finissent. Nous voulons avancer la situation ici vers la prospérité, vers la paix », avait déclaré le chef de la Monusco.

Le Mécanisme conjoint de vérification des frontières a été institué en septembre 2012. Il était constitué jusque-là des délégués des pays membres de la CIRGL et a pour objectif de renforcer la vérification de la frontière entre la RDC et le Rwanda.

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Kinshasa donne la preuve de l’infiltration de l’armée congolaise par des éléments RDF

En excluant une centaine de rebelles M23 de toute amnistie, en raison, entre autres, de leur nationalité douteuse, Kinshasa vient de donner la preuve de la grande infiltration des Forces armées de la RDC depuis l’époque de l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Rwanda jusqu’aux récentes opérations de brassage et mixage dont ont été bénéficiaires les militaires du CNDP.

La question de l’amnistie se discute à Kampala, en Ouganda, où se tiennent des pourparlers entre le gouvernement et le M23, mais aussi à Kinshasa, dans le cadre des concertations nationales. 


Jeudi 19 septembre, le porte-parole du gouvernement a indiqué que l’amnistie des rebelles se fera « au cas par cas », une centaine d’entre eux ayant d’ores et déjà été exclus du processus.

Le porte-parole du gouvernement s’est voulu très explicite. Lambert Mende Omalanga a affirmé que l’amnistie des rebelles et leur éventuelle réintégration dans l’armée régulière ne sera pas globale. 


En effet, une catégorie de personnes ne devrait pas y avoir droit. C’est le cas de ceux qui ont commis des crimes de guerre ou des crimes contre l’humanité, tué des civils, recruté des enfants soldats, pillé les richesses de la RDC.

« Nous avons informé le ministre ougandais de la Défense, ce qui facilite les pourparlers de Kampala, explique Lambert Mende Omalanga. 


Et à sa demande, nous lui avons remis une liste d’une centaine de personnes sur les 1 700 que compte le M23, qui ne peuvent pas dans ces conditions-là être éligibles à l’amnistie, ou même à la réintégration au sein des forces armées. 

Cette démarche a le soutien des représentants des Nations unies, aussi bien dans la région des Grands Lacs qu’en RDC ».

Le premier nom sur cette liste est celui de Bosco Ntaganda, dit Terminator, aujourd’hui transféré devant la Cour pénale internationale (CPI). 


Derrière son nom figurent quelques lignes de biographie. «Sujet rwandais, né à Kinigi au Rwanda, ancien instructeur en chef au centre de Gabiro de l’Armée patriotique rwandaise (APR) ».

Sept autres officiers supérieurs du M23 sont identifiés par Kinshasa comme de nationalité rwandaise. Les plus connus : Innocent Kainan, dit India Queen, Innocent Zimurinda réfugié depuis mars 2013 au Rwanda, Bizimungu Masozera qui aurait fait partie du contingent rwandais au Darfour ou encore Bosco Mberabagabo, dit Castro. 


GROUPES ARMES PROCHES DE KIGALI

D’autres sont qualifiés par le gouvernement congolais d’anciens membres de l’APR ou des Forces rwandaises de défense (RDF), l’actuelle dénomination de l’armée rwandaise. 


Sultani Makenga, aujourd’hui chef militaire du M23, aurait eu le grade de sergent au sein de l’APR. Baudouin Ngaruye aurait été, lui, instructeur au centre de Gabiro, comme Bosco Ntaganda, et son cousin, Patrick Safari, caporal au sein des RDF.

Pour l’écrasante majorité des officiers du M23 présents sur cette liste, la biographie se limite à leurs appartenances successives aux groupes armés accusés d’être proches de Kigali : le Rassemblement congolais pour la démocratie (RCD), le Congrès national pour la défense du peuple (CNDP), le M23, ou encore l’Union des patriotes congolais (UPC) en Ituri. 


Avec parfois une indication sur leur degré de proximité avec leurs chefs militaires, c’est-à-dire Laurent Nkunda, Bosco Ntaganda ou Sultani Makenga.
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[RFI/LP]

© KongoTimes

Inquiétude quant au sort d'un conservateur du Parc des Virunga

dimanche, septembre 22, 2013

 

Le Parc national des Virunga dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC)

Inquiétudes dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) quant au sort de Rodrigue Mugaruka Katembo, conservateur du Parc national des Virunga, classé au patrimoine mondial. 


Il a été interpellé vendredi, après avoir confronté des agents de la société pétrolière britannique Soco International qui érigeaient une antenne dans le parc. 

Ces agents auraient admis au conservateur qu’ils ne possédaient pas de permis pour ce faire.

 

Un gorille des montagnes 

Dans une interview avec la Voix de l’Amérique (VOA), un responsable de l’ONG Objectif Brousse, Xavier Gilibert, a fait valoir que la disparition de M. Mugaruka Katenbo s’apparentait à une tentative d’intimidation.

Ecoutez M Xavier Gilibert

La compagnie pétrolière britannique Soco International a obtenu des droits pour explorer le pétrole dans une zone du nord-est du Congo qui comprend une partie du Parc national des Virunga.

L’ONG Global Witness, qui milite en faveur de la bonne gouvernance, rappelle que le gouvernement britannique a publié une déclaration en septembre 2012 dans lequel il s’opposait à l’exploration pétrolière dans ce parc. 


De surcroit, toujours selon Global Witness, des résolutions critiques à l’égard d’une activité d’exploration ont été adoptées par les parlements belge, allemand et européen. 

Le Fonds mondial pour la nature (WWF) a de son côté lancé une campagne afin de protéger les Virunga de l’exploration pétrolière.

M. Mugaruka Katembo est un ancien lauréat du prix Abraham pour la conservation de la nature. Ce prix, instauré en 1997, distingue ceux qui se sont fait connaitre par leur courage et leur bravoure dans la défense de la nature et de la faune sauvage.  


LA LETTRE DU NORD: SECRETS D’ÉTAT, KAGAME JOUE AVEC LA MORT. (PARTIE 1)

19 septembre 2013 

Contre un avis médical; nous qui avons encore un cerveau, qui fonctionne , (opposition à l’ ignorance volontaire) nous savons que c’est une perte de temps pour soumettre Paul Kagame à une diagnostique psychiatrique. Nous avons depuis longtemps diagnostiqué Paul Kagame comme un criminel psychopathe . 




Paul Kagame a predu la tête

La véritable problématique est le médicament approprié à administrer au Rwanda pour le soulager de ce maniaque psychopate. Les Rwandais ont essayé toutes sortes de solutions paisibles, dans la mesure où ils ont perdu leur temps d’évolution des médicamments diplomatiques, mais en vain, car toutes les ordonnances prescrites étaient fausses.

La diplomatie a sa place, mais pas à partir d’une position de faiblesse. Le FPR a lancé son offensive diplomatique de 1991 sur le point de force et c’est pourquoi le gouvernement de Juvénal Habyarimana, avait fini par reconnaître les principales questions critiques. 


Le CNDD / FDD au Burundi ont commencé leur offensive diplomatique en 1995 au moment où ils se montraient forts contre le gouvernement de Pierre Buyoya, qui a concédé à négocier avec tous les partis politiques de l’opposition. 

D’autres expériences sur le même cas sont celles du RDC, CNDP, M23, SPLA, l’UNITA, etc. Tous ces mouvements ont réussi à atteindre leurs revendications politiques respectives, car ils ont appliqué au premier plan le médicament de lutte armée et de la diplomatie plus tard.

Pour les dirigeants de l’opposition rwandaise qui passent leur temps à prêcher la libération sur les radios Internet et faire des déclarations stupides, indiquant que le gouvernement du FPR sera renversé par des moyens et des manifestations pacifiques, s’il vous plaît, venez vivre la réalité. Il est impossible d’organiser une révolution au Rwanda sans effusion de sang; le dictateur a planté des tueurs partout et pour les déraciner, il faudra utiliser la force.

Paul Kagame lui même l’ a dit, « Je suis venu par le sang et je vais laisser le pouvoir par le sang. Vous utilisez un marteau pour frapper un clou et vous pouvez également utiliser un marteau pour enlever ce clou. 


« Pour ces sectes qui s’appellent partis politiques et, qui rêvent d’une révolution sans effusion de sang ( révolution itamena amaraso ), ce que je peux dire, c’est de vous souhaiter bonne chance. Ces grands hommes politiques qui ont essayé ce médicament croupissent maintenant dans les prisons rwandaises .

FDLR-RNC/FDU la peur qui empêche Kagame à dormir.

Historique:

Quand Patrick Karegeya a fui le pays pour l’Afrique du Sud en août 2007, Paul Kagame et son entourage ont paniqué parce qu’ils savaient que Patrick Karegeya connaissait beaucoup sur de nombreux dossiers sales, sur les crimes de Kagame de droit humain et des crimes économiques. 


C’est pourquoi Paul Kagame est sorti pour dénoncer et discréditer Patrick Kagereya en l’appellant un agent secret, qui travaille pour les services secrets sud-africains. 

 
L’échec de DMI à salir l’image de la nouvelle génération de commandants au sein du FDLR a créé des maux de tête dans le cercle intime de Kagame. Cet officier DMI a dit que depuis un an maintenant, nous avons essayé de cerner ces nouveaux commandants FDLR à tout crime, mais nous avons échoué. 90% d’entre eux ont quitté le pays à l’adolescence. 



C’est pourquoi Kagame devait sortir le 30 Juin pour incriminer tous Hutus, c’était un discours préparé pour cibler ces nouveaux commandants. 

Paul Kagame a été choqué d’apprendre que, après sa tentative d’assassinat sur Kayumba Nyamwasa, certains responsables supérieurs du FDLR ont visité Kayumba Nyamwasa à l’hôpital. 


Le renseignement extérieur a dit au criminel Kagame que Patrick Karegeya et Frank Ntwali, le beau-frère de Kayumba Nyamwasa, avaient travaillé en tant que coordinateurs de l’organisation d’une opposition crédible contre Kagame. 

C’est pourquoi Kagame a ordonné, que Frank Ntwali devait être tué, ce qui conduit à l’assassinat, que Ntwali a échappé de justesse. 

La DMI a également informé le criminel Paul Kagame que Patrick Karegeya et Kayumba Nyamwasa sont en contact quotidien avec le général Achille Musenyeri le chef de l’ensemble du personnel des FDLR, et cette information a rendu Kagame encore plus fou. 


La DMI a également exposé au criminel Paul Kagame que le Gen Ntawugunka Omega Pacifique Israël, le commandant FDLR dans le Nord -Kivu, le colonel Job et le colonel Nicolas, commandants des FDLR dans le sud Kivu, se sont réunis avec les agents de RNC dans la région du Kivu. 


Cet agent de la DMI a dit à Ikaze Iwacu que Kagame est en état ​​de panique. 

Les agents externes de la DMI ont également informé Paul Kagame qu’il existe des liens étroits entre les officiers Banyamulenge comme le colonel Ruohimbira, le colonel Eric Bizimana, le général Pacifique Masunzu des FARDC, avec FDLR, Kayumba Nyamwasa et Patrick Karegeya. Kagame a également appris que la defaite du M23/RDF au mois de Juin était due à des opérations menées par le général Pacifique Masunzu, le général Omega Pacifique, le colonel Caleb et les agents de la RNC. 


C’est pourquoi Kagame a essayé de nouveau d’attaquer les FARDC en Août seulement pour conquérir plus de territoires, et prévoit désormais d’attaquer à nouveau pour déloger ses ennemis qui sont de plus en plus redoutables. 

Kagame a aussi peur de la relation entre Patrick Karegeya et le président Jakaya Kikwete. Les deux hommes sont amis depuis l’université, et étaient co-locataires à l’université. 


En 2009, le criminel Kagame a personnellement averti le président Kikwete de ne pas inviter Patrick Karegeya à son bureau, mais le président Kikwete a dit à Kagame qu’il connaissait Karegeya avant lui, et Karegeya était un ami de la famille. Cette relation dérange beaucoup le monstre du Village Urugwiro. 

Les agents de la DMI ont également dit à Ikaze Iwacu que « la DMI a essayé de contacter les jeunes commandants FDLR, pour les corrompre avec l’argent, afin de les convaincre de quitter la lutte ou travailler comme leurs informateurs , mais nous avons totalement échoué. 


Nous n’avons plus d’informations solides sur les FDLR, les FARDC et les plans de la RNC dans l’est du Congo, nous obtenons seulement un croquis d’infos. 

Par exemple, nous entendons que Karegeya est toujours à Kinshasa, mais nous n’avons pas de détails. Tout cela a fait Kagame d’être désespéré dans ses actions » . 

Kagame ne cesse d’avoir des nuits blanches, car ses commandants sur le terrain au Congo lui disent que les FDLR et des éléments de RNC sont très bien armés, et ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils n’attaquent le Rwanda. 


Cet agent de la DMI a également déclaré que le pays est en faillite, alors que nous dépensons des millions de dollars dans la lutte pour collecter des renseignements et le remboursement de faux informateurs qui nous donnent des informations erronées. 

La plus grosse frayeur pour Kagame, c’est la confiance en soi du président Joseph Kabila, le président Kabila a mûrement grandi politiquement et a manœuvré sur le criminel Kagame. Le Président Kabila n’a plus peur de Kagame, le facteur de la peur a diminué. 


Kagame est aussi dans l’obscurité; ses espions externes en Europe n’ont pas réussi à traquer les mouvements de Jonathan Musonera, Paulin Murayi, Nkiko Nsengimana, Sixbert Musangafura et les dirigeants des FDLR. 


Cet agent de la DMI a dit à Ikaze Iwacu que ces hommes ont fait leurs opérations secrètement et nous avons essayé de recruter leurs amis et des proches pour les espionner au nom da la DMI, mais sans succès, ils sont de plus en plus insaisissables. Nous avons également payé des gens pour détruire ces hommes politiquement mais sans aucun succès. 

Kagame est aussi furieux et accuse ses espions, de dépenser beaucoup d’argent pour payer les individus, mais ils n’ont pas réussi à détruire les FDLR, FDU et RNC. 


Cet agent de haut niveau de la DMI a déclaré que même en Amérique, nous n’avons pas réussi à suivre les mouvements des leaders de l’opposition, en particulier les mouvements de RNC et les chefs des FDLR en Amérique et au Canada. 

Kagame est totalement sous la peur, c’est pourquoi il lance des grenades à son propre peuple et ensuite son euphorique ministre Louise Mushikiwabo sort pour raconter le mensonge, en accusant les FDLR et les éléments en Afrique du Sud. 


« Evidemment, tous les Rwandais savent celui qui jette des grenades, même Louise Mushikiwabo sait bien que c’est Kagame « , a déclaré cet agent de la DMI . 

Ikaze Iwacu a contacté un officier supérieur des FDLR sur les accusations de Louise Mushikiwabo que FDLR et des éléments en Afrique du Sud ont lancé des grenades à Kigali, et voici ce qu’il a dit, « Kagame pendant des années a utilisé des milices Maï-Maï comme Maï Maï Cheka et Rai Mutomboke pou violer des femmes , et d’autres crimes afin de salir l’image des FDLR. 


Par exemple Maï Maï Cheka avec les éléments wandais des forces spéciales ont tué des gens et se faisant appelés FDLR. Ainsi, les nouveaux jeux, qui viennent de Kigali ne nous choquent pas, mais Dieu merci, maintenant tout le monde connaît la vérité « .

Ikaze Iwacu a également contacté Jonathan Musonera de RNC sur les accusations de Louise Mushikiwabo sur les grenades qui ont tué des gens au Rwanda et il a dit: «Évidemment, c’est l’oeuvre de Kagame pour intimider la population et de détourner l’attention sur les difficultés politiques que le pays traverse. 


Il y a tout juste quelques semaines, il a utilisé le M23/RDF pour bombarder et de tuer ses propres compatriotes, il a essayé de mentir que c’était les FARDC, heureusement qu l’ONU, le Royaume-Uni et le Etats-Unis se sont mis débout pour lui dire qu’il racontait des mensonges, que c’est le M23/RDF qui avait bombardé le sol Rwandais. 



L'armée rwandaise, RDF, ne peut plus infiltrer les FARDC

Si vous vous souvenez bien, il a tué beaucoup de prostituées à Kigali et il a accusél le RNC et les FDLR d’être auteurs de ces assassinats. Cet homme est un génocidaire et un tueur en série . »


Sur la question de RNC qui travaille avec les Interahamwe comme l’a déclaré Louise Mushikiwabo, Musonera a dit à Ikaze Iwacu que: » Les Interahamwe se trouvent au Village Urugwiro et le RNC a le droit de parler et de travailler avec les gens de toutes les sections de la société rwandaise, qui sont persécutés par le régime du FPR ».

Conclusion :

Pour ceux qui prêchent pour un ange, qui viendra sauver les Rwandais de Kagame et ses bandits du FPR , sachez que chaque jour des personnes innocentes sont tuées au Rwanda et dans le monde par le criminel Kagame et ses agents. 


Si le monde avait attendu l’ange pour éliminer Hitler, Hitler aurait pu rester au pouvoir indéfiniment, si le monde avait attendu un ange pour renverser Saddam Hussein, jusqu’à présent, Saddam serait toujours le président en Irak, si le monde avait attendu un ange pour éliminer Kadhafi jusqu’à maintenant Kadhafi serait encore le président de la Libye.
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Par notre Correspondant 

Mudukurikire kuri
IKAZE IWACU

Négociations RDC - M23 : MUSEVENI doit se soumettre aux décisions du VIIème sommet de la CIRGL

21/09/2013

 

Joseph KABILA et Yoweri MUSEVENI

Ce lundi, le deuxième round des négociations de Kampala entre le gouvernement et le M23, sous la médiation ougandaise, accomplira 14 jours. Ce temps représente la durée que les chefs d’Etas de la CIRGL avaient donnée aux parties pour boucler. 


Ou plus explicitement au Médiateur pour conclure par un Accord signé par les deux camps. 

Or, on est encore loin, très loin du compte. On est déjà dans des prolongations au 14ème jour, le constat étant que le fossé est encore profond entre les deux positions exprimées à Kampala.

Depuis la reprise, la médiation ougandaise n’a su convoquer la plénière des délégués qu’une seule fois: le mardi dernier. Au cours de cette séance, le facilitateur ougandais, Cryspus Kiyonga, n’a pas présenté un projet d’Accord entre les deux parties. 


Il a cependant, produit un document qui reprend 10 points qui feront encore l’objet des discussions entre les deux parties.

Ce ne sont donc pas des points d’accord, mais plutôt de profondes divergences. 


Comme, par exemple, l’amnistie en bloc qu’exige le M23 ou encore leur intégration automatique dans les Fardc qu’ils continuent à réclamer à tue-tête, malgré des déclarations publiques mensongères qu’ils tiennent à longueur des journées selon lesquelles les Fardc n’ont rien pour les attirer.

Comme on le voit, au 14ème jour, la physionomie n’a pas évolué d’un iota. En plus, il faudrait marquer un break occasionné par les travaux de New-York où se tient en week-end une réunion de la CIRGL sur la RDC en marge de l’Assemblée générale de l’Onu.

Faudra-t-il accorder une énième prolongation au médiateur ougandais Museveni Kaguta? Non, répond Lambert Mende Omalanga, porte-parole du gouvernement qui a raison de monter au créneau contre la médiation ougandaise.

Pour lui, il faut se conformer aux prescrits des chefs d’Etat lors de la VIIème session extraordinaire de la CIRGL sur la RDC à Kampala. 


Ce sont eux qui ont fixé le timing de 14 jours. Ce qui veut dire qu’au bout de ce timing, il faut savoir arrêter et non chercher à aller au-delà de leur mandat. 

La Médiation ougandaise n’a donc plus qu’une alternative, soit conclure soit établir un procès verbal de carence. 

NEUF BONS MOIS

Mende Omalanga a pleinement raison. Car on a vite oublié que les pourparlers sous la médiation ougandaise ont déjà consommé 9 bons mois. Sans aucune avancée. 


Ce qui a poussé les chefs d’Etats de la CIRGL à fixer un délai sous forme d’ultimatum de 14 jours. Ultimatum adressé plutôt à la médiation qui joue même le jeu et qui est en mesure de conduire les deux parties à signer un Accord de paix.

L’Ouganda en est incapable. Faudra-t-il encore proroger ? Jusqu’à l’infini. La logique simple voudrait effectivement que le Médiateur, qui est resté tout aussi contre- performant dans les 14 jours, s’en remette à nouveau aux chefs d’Etats de la CIRGL.

L’occasion faisant le larron, ceux-ci se réunissant à New York, c’est là où Museveni Kaguta, à défaut de conclure les pourparlers, devra présenter un PV de carence comme le lui demande Lambert Mende Omalanga, car il est encore à mille lieux de la solution.

En font foi les deux points parmi les plus sensibles qui sont l’amnistie automatique de tous les rebelles du M23 et leur intégration en bloc. La position du gouvernement, qui rencontre celle des Congolais est connue et inchangée. 


Il n’est pas question d’amnistier en bloc des personnes dont la plupart ont commis des crimes de guerre et crimes contre l’humanité et sont sous sanction de l’Onu.

A ce sujet, le porte-parole du gouvernement estime que, sur la liste de 1700 éléments du M23 qu’il a publiée, plus de 100 combattants sont susceptibles d’être poursuivis pour crimes internationaux. Raison de plus pour rejeter toute amnistie. Quant à l’intégration, il n’est pas question de reprendre les erreurs du passé.

C’est suite à ces erreurs du passé, que les négociations sont sous pression avec le CNDP. Dans ce rapport qui lui était favorable, le gouvernement a donné plus qu’il ne pouvait. 


Comment amnistier un criminel de guerre comme Bosco Ntaganda, en 2009, qui était pourtant déjà sous mandat d’arrêt international de la CPI depuis 2006? 

FALLACIEUX PRETEXTE

C’était sous la même pression des parrains rwandais et ougandais comme à ce jour avec le M23. Quant à l’intégration, l’erreur de 2009 était d’accepter le mixage des troupes du CNDP avec les Fardc et d’accepter de les consigner uniquement au Nord-Kivu. 


Quels sont ces soldats-là au monde qui exigeraient à leur hiérarchie de n’évoluer que dans leurs milieux d’origine ? Au Rwanda ? En Ouganda ? Au Burundi ou en Tanzanie ?

Le fallacieux prétexte avancé est de protéger les Tutsi du Nord-Kivu contre des menaces de mort des génocidaires hutu des FDLR. C’est là qu’intervient la revendication d’éradication des FDLR. Celles-ci qui menacent d’extermination la communauté tutsi et qui empêchent aussi les refugiés tutsi de revenir au Nord-Kivu. Pourtant, c’est connu. 


Les FDLR commettent des pires exactions contre les populations congolaises indistinctement et non seulement contre les Tutsi du Kivu.

Si le M23 est retourné à Kampala pour aller causer ces blocages, c’est après ses revers militaires des combats de Kibati. 


Les rebelles et leurs parrains savent pertinemment bien qu’ils sont actuellement en position de faiblesse face aux Fardc soutenues par la Monusco. Ils procèdent par des diversions pour gagner du temps, car ils préparent une nouvelle guerre dans la quête du changement du rapport des forces.

C’est ce qui explique le piétinement à Kampala qui est encouragé par l’Ouganda. Ce dernier continue à jouer le jeu de la rébellion. Autrement, comment comprendre que Crispus Kiyonga, ministre ougandais de la Défense et facilitateur des négociations de Kampala, ait demandé sur BBC dans son édition de mercredi dernier à la Monusco de cesser toute offensive contre le M23 afin de donner la chance à la voie politique.

Kiyonga sait pourtant bien que cette voie politique qu’il chante sous tous les toits est toujours au point mort à cause du M23 et que la reprise de la guerre sur la ligne de front devient de plus en plus inévitable. 


Mais par cet appel, l’Ouganda fait tout pour sauver le M23 en empêchant toute attaque de la Monusco et en maintenant le centre du jeu politique à Kampala. Pour aller tourner en rond.
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[KANDOLO M.] 

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