31 juillet 2014
Le FPR et le triomphe du mensonge, peut on avoir la justice de l’injustice?
Dans ce pauvre cher Pays le Rwanda, j’en suis sûre, la justice de Dieu n’a pas encore dit son dernier mot. Quand ce n’est pas la mort c’est la prison, c’est l’exil et l’humiliation, et quand ce n’est ni l’un ni l’autre, c’est le choix d’un silence si étouffant qu’on en entend des gémissements impossibles à contenir.
Mais, malgré ces gémissements si lourds et bruyants du peuple Rwandais, il y a dans l’air, comme un sentiment de résignation. Hélas, comme cela nous est donné de le voir dans notre pays, il semblerait que de part et d’autre de l’échiquier politique du FPR, il soit désormais convenu que la mort ou la prison est un fait normal pour les uns et un outil privilégié pour les autres, surtout, depuis la prise de pouvoir du FPR de Paul Kagame, sans que cela ne paraisse remettre en cause les fondements universels d’une société politique démocratique.
La peur de certains Rwandais favorisant l’abus des autres, ou vice versa, nous rentrons dans une forme de banalisation de l’injustice d’un état sans boussole, face à une opposition non soudée, pour voir s’enraciner une dictature qui laisse la porte ouverte à tous !
Jamais nous n’avons et nous ne devrions nous résigner à combattre l’injustice du FPR dans ce pays et étouffer toute velléité de dictature de Paul Kagame ! Car, l’accepter un tant soit peu, peu importe qui en est la victime Hutu ou Tutsi, c’est se préparer à en être victime demain.
Certes, nous en serons tous responsables, car pour certains, nous aurions succombé à nos peurs et pour d’autres, à la jouissance aveugle et haineuse d’un pouvoir qui nous conduit tout droit dans le mur.
Mais, au préalable, nous avons la responsabilité d’interpeller, d’avertir, de dénoncer et de mobiliser pour faire arrêter la machine infernale, répressive, injuste et dictatoriale du FPR de Paul Kagame.
Nous devons, sans violence, sans excès, sans prétention, mais parce que notre pays en vaut plus que la peine, arrêter Paul Kagame dans sa folle et aveugle course, qui ignore en réalité notre pays !
Nous devons apprendre à Kagame que la célébration excessive d’un pouvoir excursionniste et orienté contre ceux qu’il doit servir, finit inévitablement dans des regrets terribles que rien ne peut consoler !
Nous devons surtout, refuser de baisser les bras et courber l’échine face à la violence aussi déterminée du FPR, C’est donner la chance à la démocratie brutalement arrêtée de reprendre la voie de sa croissance et favoriser la construction nationale dans l’unité et la prospérité partagée.
Refuser la banalisation du meurtre, du mensonge, du crime, de la corruption et la mal- gouvernance, c’est donner l’espoir que le Rwanda pourrait exister demain, sur des fondements sains et unificateurs, inclusifs et fédérateurs.
Refuser cette banalisation, c’est dire au monde entier que le FPR et Kagame se trompent, qu’ils trompent tout le monde et qu’il a besoin d’aide. Refuser cette banalisation, c’est aussi et surtout donner une chance à la réconciliation des enfants de notre pays, demain, bientôt et ensemble.
Chers compatriotes, unissons nos forces. Ensemble, nous vaincrons.
____________
Dylan Mugisha
IKAZE IWACU
Le FPR et le triomphe du mensonge, peut on avoir la justice de l’injustice?
Dans ce pauvre cher Pays le Rwanda, j’en suis sûre, la justice de Dieu n’a pas encore dit son dernier mot. Quand ce n’est pas la mort c’est la prison, c’est l’exil et l’humiliation, et quand ce n’est ni l’un ni l’autre, c’est le choix d’un silence si étouffant qu’on en entend des gémissements impossibles à contenir.
Mais, malgré ces gémissements si lourds et bruyants du peuple Rwandais, il y a dans l’air, comme un sentiment de résignation. Hélas, comme cela nous est donné de le voir dans notre pays, il semblerait que de part et d’autre de l’échiquier politique du FPR, il soit désormais convenu que la mort ou la prison est un fait normal pour les uns et un outil privilégié pour les autres, surtout, depuis la prise de pouvoir du FPR de Paul Kagame, sans que cela ne paraisse remettre en cause les fondements universels d’une société politique démocratique.
La peur de certains Rwandais favorisant l’abus des autres, ou vice versa, nous rentrons dans une forme de banalisation de l’injustice d’un état sans boussole, face à une opposition non soudée, pour voir s’enraciner une dictature qui laisse la porte ouverte à tous !
Jamais nous n’avons et nous ne devrions nous résigner à combattre l’injustice du FPR dans ce pays et étouffer toute velléité de dictature de Paul Kagame ! Car, l’accepter un tant soit peu, peu importe qui en est la victime Hutu ou Tutsi, c’est se préparer à en être victime demain.
Certes, nous en serons tous responsables, car pour certains, nous aurions succombé à nos peurs et pour d’autres, à la jouissance aveugle et haineuse d’un pouvoir qui nous conduit tout droit dans le mur.
Mais, au préalable, nous avons la responsabilité d’interpeller, d’avertir, de dénoncer et de mobiliser pour faire arrêter la machine infernale, répressive, injuste et dictatoriale du FPR de Paul Kagame.
Nous devons, sans violence, sans excès, sans prétention, mais parce que notre pays en vaut plus que la peine, arrêter Paul Kagame dans sa folle et aveugle course, qui ignore en réalité notre pays !
Nous devons apprendre à Kagame que la célébration excessive d’un pouvoir excursionniste et orienté contre ceux qu’il doit servir, finit inévitablement dans des regrets terribles que rien ne peut consoler !
Nous devons surtout, refuser de baisser les bras et courber l’échine face à la violence aussi déterminée du FPR, C’est donner la chance à la démocratie brutalement arrêtée de reprendre la voie de sa croissance et favoriser la construction nationale dans l’unité et la prospérité partagée.
Refuser la banalisation du meurtre, du mensonge, du crime, de la corruption et la mal- gouvernance, c’est donner l’espoir que le Rwanda pourrait exister demain, sur des fondements sains et unificateurs, inclusifs et fédérateurs.
Refuser cette banalisation, c’est dire au monde entier que le FPR et Kagame se trompent, qu’ils trompent tout le monde et qu’il a besoin d’aide. Refuser cette banalisation, c’est aussi et surtout donner une chance à la réconciliation des enfants de notre pays, demain, bientôt et ensemble.
Chers compatriotes, unissons nos forces. Ensemble, nous vaincrons.
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Dylan Mugisha
IKAZE IWACU
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