«Joseph KABILA» veut en finir avec l’APARECO et les patriotes résistants de la Diaspora congolaise : Le patron de la DGM, Monsieur BEYA, est à Lyon en France à la tête d’un puissant commando
Avant de quitter Kinshasa pour Montreux en Suisse, «Kabila» a présidé personnellement une importante réunion de sécurité au sommet pour examiner les voies et moyens d’en finir avec l’APARECO et tous les mouvements des patriotes congolais opérant en Europe. Ce continent est désormais considéré par le gouvernement congolais, comme le bastion de la résistance congolaise dont les effets commencent à se faire sentir sérieusement à Kinshasa et à travers le pays en RDC. Selon une source très proche de « Kabila », les circonstances de la fuite du général Munene grâce à l’intervention rapide de la hiérarchie de l’APARECO a été au centre des débats. Car ce détail troublant fait redouter à «Joseph Kabila» une probable jonction entre son pire ennemi de toujours, Monsieur Honoré Ngbanda et l’enfant terrible de M’Zee Kabila, le général Faustin Munene, contre le pouvoir d’occupation.
En conclusion, « Kabila » a décidé d’utiliser les gros moyens pour en finir définitivement avec l’APARECO et son président, ainsi qu’avec tous les leaders des mouvements des patriotes congolais en Europe. Particulièrement les « enfants terribles » du Royaume Uni. Les autorités britanniques qui semblent avoir reçu les mêmes informations ont tenues à faire accompagner de trois policiers anglais la délégation congolaise de UK aux manifestations qui se sont déroulées le week-end dernier à Bruxelles. Profitant de son déplacement en Europe pour assister à la réunion de la Francophonie, « Kabila » a fait entrer des armes par l’avion présidentiel ainsi que plusieurs de ses barbouzes d’où l’importance de la délégation congolaise à ce Sommet. Ces sbires de « Kabila » ont aussitôt rejoint Paris avec leur arsenal grâce aux véhicules diplomatiques de l’ambassade de la RDC à Paris, sous la supervision personnelle de l’ambassadeur Ndjoku Myra.
Mais prévenu par ses réseaux à Kinshasa, L’oeil du Patriote a déployé tous ses moyens pour suivre tous les mouvements des barbouzes de « Kabila » en France. Ainsi, nous avons pu découvrir que la première cible d’action du commando est la réunion que le Comité urbain de l’APARECO tient ce samedi 30 octobre à Lyon en France. Nos sources ont vite fait de localiser et de pister ce commando dont nous connaissons actuellement tous les mouvements. Depuis ce dimanche 24 octobre 2010, Monsieur BEYA, le patron de la Direction Générale des Migrations (DGM) connu comme tueur à gage de « Kabila » est descendu en TGV vers 18H30 à la Gare de Lyon Part-Dieu en provenance de l’ambassade de la RDC à Paris, avec une forte délégation de Barbouzes, pour des missions spécifiques dont, le sabotage de la conférence-débat qui se tiendra le samedi 30 octobre 2010, à Lyon. Deux agents exécuteurs ont pour mission spéciale de procéder à l’enlèvement de Madame Candide OKEKE, de lui faire subir des tortures avant de l’abattre, car selon leurs informations, c’est elle qui serait l’organisatrice principale de cette réunion du comité urbain de l’Apareco/Lyon , sans compter les nombreux articles qu’elle rédige régulièrement contre le gouvernement congolais.
D’autres sbires ont reçu mission de neutraliser par tous les moyens possibles (silencieux ou empoisonnement), le conseiller du Président de l’APARECO, Monsieur MULOPO, le vice-président de l'APARECO, Maître NDALA WA NDALA et Monsieur l'Abbé Jean-Pierre MBELU, tous étant les orateurs programmés de la conférence de Lyon le samedi prochain. D’autres agents civils de l’ANR qui accompagnent Beya ont reçu mission d’approcher et de recruter les autres membres du Comité urbain de l'APARECO/LYON pour un retour au pays , en leur proposant des postes intéressants. L’objectif final étant de décapiter et d'effacer le mouvement APARECO. Au cas où la tentative de recrutement échouait, les agents sont obligés de recourir automatiquement à leur élimination par balles ou par empoisonnement.
Sur instructions du Président National Honoré Ngbanda, le Comité urbain de l’APARECO/Lyon porte plainte contre «Kabila», Myra Ndjoku et Beya !
Devant cette guerre ouverte déclarée par « Kabila », L'Oeil du Patriote, organe de recherche et d’information de l’APARECO, a déployé au maximum tous ses moyens d’action tant à Kinshasa qu’en Europe. Ainsi, il a suivi de très près tous les mouvements (sortie, déplacements, hôtels, voitures) des membres du commando de « Kabila » conduits par son tueur à gages Beya. Ceux-ci ont voulu, depuis leur arrivée à Lyon, éviter scrupuleusement les restaurants de la ville, par crainte d'être vus ou repérés. C’est ainsi qu’ils se sont organisés pour prendre tous leurs repas (petit-déjeuner, déjeuner et dîner) soit chez le père de M. Beya qui habite au 17, rue Dedieu à Villeurbanne, soit chez le grand frère de Beya, Monsieur Mulamba à Ecully, soit encore chez le petit frère de Beya, Nkongolo Vicky Djeni, ou chez Mme Popina, au 5ème étage, rue Lalande, n° 21 à Lyon 6ème. Précisons que notre enquête a révélé que tous ses frères sont des repris de justice à Lyon. Une famille de « Kuluna »!Devant la gravité et la flagrance des faits, Monsieur Honoré Ngbanda, président national de l’APARECO, vient d’instruire le président urbain de l’Apareco/Lyon de porter plainte contre « Joseph Kabila », Myra Ndjoku et Beya. L’oeil du Patriote rappelle que ce dernier est le collaborateur de « Didier Kazadi », le Burundais, l'âme orchestre chargé par « Kabila » de chercher partout dans le monde pour l’exécuter, le Président national de l’APARECO, Honoré Ngbanda. Il convient de préciser ici que celui qui se fait appeler « Kazadi Nyembwe » n’est pas congolais et ce n’est pas son vrai nom. Cet homme est un Burundais, évadé de la prison de Bujumbura pour crimes, recherché jusqu'à ce jour au Burundi. Par la magie de l’imposture qui est la méthode de gouvernance en RDC, il est actuellement Député du Kasaï. Monsieur BEYA est chargé en outre d'éliminer physiquement certains leaders et patriotes résistants au sein de la diaspora congolaise.
L’APARECO interpelle les autorités françaises et les invite à prendre leurs responsabilités à temps !
L’APARECO rappelle aux autorités françaises que depuis sa création le 4 juin 2005 à Paris en France, elle a toujours exercé son droit légal de résister à l’occupation de son pays par des étrangers qui le pillent et oeuvrent à sa balkanisation. Elle mène ce combat dans le strict respect des lois de la République française qui l’a accueilli sur son territoire. Par contre , depuis l’arrivée de l’ambassadeur Myra Ndjoku, qui fut le patron de l’Agence des renseignements (ANR) à Kinshasa, avec pour mission d’éliminer physiquement les opposants congolais en Europe, particulièrement en France, la communauté congolaise de France ne cesse d’enregistrer des actes de violences et de barbaries commis contre elle par l’ambassadeur de « Kabila » au sein même de l’ambassade de la RDC à Paris , en violation flagrante des conventions diplomatiques internationales.Au moment où la France fait face à la menace imminente d’actions terroristes sur son territoire, la mission des sieurs Myra Ndjoku et Beya sur ordre de «Joseph Kabila », visant à éliminer les dirigeants de l’APARECO en France, devrait constituer un point de préoccupation majeure quant à leurs conséquences sur la sécurité des personnes et des biens.
Au-delà de la plainte déposée auprès des services de police à Lyon, l’APARECO invite les autorités françaises à prendre des mesures urgentes pour condamner et mettre fin aux pratiques barbares du dictateur rwandais « Joseph Kabila » sur le territoire français. L’APARECO n’a pas l’intention de se laisser faire et n’acceptera pas que les sbires de « Kabila » s’en prennent à un seul de ses membres. Nous sommes des résistants, nous ne craignons par le pouvoir d’occupation installé à Kinshasa, à la moindre agression de l’un de nos membres nous réagirons en conséquence.
Par Candide OKEKE
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