Sur le papier, l'armée libyenne aligne environ 70 000 hommes pour une population de 6 millions d'habitants une armée hétéroclite comprenant 25 000 conscrits mais aussi un embryon de garde nationale confié à l'un des fils du colonel Kadhafi, Saadi, et des unités de gardes-frontières.
Le gros des régiments d'infanterie et d'artillerie seraient dotés de plusieurs centaines de véhicules blindés BTR et BMP d'origine russe, des canons de 155 mm et près de 200 chars T72 qui devaient être modernisés par la Russie.
Mais tout ce matériel lourd s'adresse à des militaires formés et entraînés. En revanche, les canons antiaériens de 23 mm, les véhicules tout-terrains et les fusils mitrailleurs peuvent être utilisés par des personnels ayant reçu une formation minimale. La Libye en possède de grandes quantités stockées dans les différentes casernes du pays.
Pour ce qui est de la force aérienne libyenne, elle a fortement souffert de l'embargo international. Près de Tripoli, trois bases aériennes, dont la principale, celle d'Okna ben Nafi, abriterait une trentaine avions d'attaque et des hélicoptères en état de vol.
Plus à l'est, d'autres avions sont stationnés à Gurdabiya-Syrte et Benghazi, dont les pistes de l'aéroport auraient été détruites.
Pour transporter des troupes ou des mercenaires étrangers, des appareils civils peuvent être utilisés afin de palier le faible nombre d'avions de transport militaire disponibles.
Le gros des régiments d'infanterie et d'artillerie seraient dotés de plusieurs centaines de véhicules blindés BTR et BMP d'origine russe, des canons de 155 mm et près de 200 chars T72 qui devaient être modernisés par la Russie.
Mais tout ce matériel lourd s'adresse à des militaires formés et entraînés. En revanche, les canons antiaériens de 23 mm, les véhicules tout-terrains et les fusils mitrailleurs peuvent être utilisés par des personnels ayant reçu une formation minimale. La Libye en possède de grandes quantités stockées dans les différentes casernes du pays.
Pour ce qui est de la force aérienne libyenne, elle a fortement souffert de l'embargo international. Près de Tripoli, trois bases aériennes, dont la principale, celle d'Okna ben Nafi, abriterait une trentaine avions d'attaque et des hélicoptères en état de vol.
Plus à l'est, d'autres avions sont stationnés à Gurdabiya-Syrte et Benghazi, dont les pistes de l'aéroport auraient été détruites.
Pour transporter des troupes ou des mercenaires étrangers, des appareils civils peuvent être utilisés afin de palier le faible nombre d'avions de transport militaire disponibles.
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