Ce mouvement avance les pieds et se dévoile. Les souvenir reviennent. L’histoire se lie de ce côte-ci, et s’agissant de la RDC on peut qu’aisément la relire. En bien, relisons l’histoire : la première botte des militaires rwandais à fouler le sol Congolais n’appartenait à nul autre que ce mouvement rebelle.
Camouflé aujourd’hui du sobriquet de FDLR (mixage entre ex armée régulière et milice Inter-hamwe), hier porteur de son appellation originelle : les FAR (Forces armées rwandaise). N’est-ce pas que la mémoire est toujours fraîche ?
Cette force est la première présence militaire rwandaise en territoire Congolais –et a sonné le son d’un voyage en enfer de toute une nation après avoir commit des crimes de génocide horribles chez eux dans leur terre natale, le Rwanda. Ce génocide froisse la mémoire de l’humanité.
Munis de leur trompette ethnique, ils ont joué un rythme affolement macabre devant les paisibles (et naïves )populations Congolaises qui jadis vivent en harmonie ethnique/tribale sans faille. Les tribus congolais des BAHEMA et BALENDU dans l’Ituri se sont vite enivrés à ce son macabre de la haine ethnico-tribale exportée par les marchands de la mort que sont FDLR et milice Inter-hamwe.
L’aube n’avait pas encore tombée avant que ces populations congolaises ne sombra dans des actes de tueries innommables comme ceux du Rwanda. Demandez qu’en est-il resté de l’Ituri, en Province Orientale : rien, la vie et le temps se sont arrêtés.
Les nombres de morts des innocents congolais tombés sous ce mouvement mixte ne peuvent être compter. Aujourd’hui ces crimes se poursuivent -les Inter-hamwes constituent une milice parmi les plus cruelles opérant actuellement en République Démocratique Congo.
Certaines des femmes congolaises furent littéralement violées sans commune mesure par ces forces rwandaises –certaines de ces victimes de viol se sont retrouvées porteuses du VIH SIDA.
Au moment où ces lignes sont entrain d’être griffonnées, l’écho des viols des femmes congolaises ne font que se éteindre par la fureur de son échelon trop élevé.
Et voilà une FDLR new look qui fend le chemin, devenu comme le dernier rempart dans une crise(!). Sincèrement les Rwandais en ont fait de la RDC un terrain de divertissement. Et ils en ont le champs libre, les Congolais restent naïvement trop endormis.
Mais toutefois il ya un adage qui rappelle ceci : à trop malin, malin petit (…)
Ainsi l’un après l’autre tout le monde essaye de se racheter –mais auprès de qui ? La RDC n’en demande qu’être un pays exempte de toute souillure d’une quelconque force armée étrangère, quelle qu’elle soit.
Compte tenu de ce qui précède, la présence des messieurs du FDLR ne vient que pour remuer le couteau dans une plaie encore toute fraîche.
Source: Direct.cd
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