30/07/2013
FARDC
Les FARDC vont de victoire en victoires. L’ennemi de la RDC a tout perdu sur terrain.
Ce mercredi 24 juillet, l’armée congolaise a récupé un de point stratégique qu’occupait la rébellion. Il s’agit de la base militaire stratégique de Rumangabo, située à 50 kilomètres au Nord de Goma.
C’est ici la base la plus importante pour la formation et la prise des stratégies pour la prise de la ville de Goma. Les bombardements de l’armée congolaise n’ont pas laissé aucune chance à l’ennemi.
Un entrepôt de munitions et d’armes a été incendié. Ce qui a obligé les rebelles de fuir pourtant surpris en pleine réunion.
Après cette perte, la coalition Rwanda-M23 s’emploie à désinformer l’opinion. Elle fait circuler des vieilles images sur le net pour dire que l’armée a bombardé des civils. Une sale intox donc.
Ce n’est qu’une fausse intox. La Radio Okapi a rapporté que les rebelles du M23 ont fui en panique, surpris par le bombardement inattendu loin des lignes de front.
Quant aux images qui circulent sur le net, le colonel Hamuli, porte-parole militaire des FARDC, n’a pas tardé à dévoiler la propagande militaire des rebelles.
« Rumangabo est un site purement militaire. Il est possible qu’il y avait des civils qui cherchaient refuge à l’intérieur, mais c’est une cible légitime pour les FARDC » a-t-il déclaré à Reuters.
Sur place, certaines sources affirment que la faiblesse de ce mouvement le conduit à déguiser des soldats en civils pour se protéger contre l’avancée des FARDC.
« Ce qui sont morts, ce sont les rebelles rwandais surpris en pleine réunion par des bombardements inattendus des FARDC », a révélé un civil qui dit avoir quitté le site de Rumangabo après la chute de la colline de Munzoga à Kibati entre les mains de l’armée loyaliste.
Pour lui, il était prévisible qu’après la colline de Munzonga, les FARDC devraient mettre le cap sur Rumangabo. « Nous (la population voisine du camp de Rumagabo) avions pris la précaution de libérer ce site avant que le pire arrive.
Nous nous sommes ainsi réfugies dans la zone récupérée par les FARDC » souligne ce papa de quarante ans qui se dit satisfait par cette énième victoire de l’armée congolaise.
Les images qui circulent sur le net et les accusations du M23 ne relèvent qu’une de sale propagande militaire. Celle-ci consiste à désinformer les faits pour espérer une quelconque sympathie de l’opinion.
Ce qui ne va pas marcher, car au jour d’aujourd’hui, il s’est avéré que le M23 et le Rwanda sont des terroristes. Crier au bombardement des civils, c’est un voleur qui crie au voleur.
Voilà pourquoi ils peuvent évoquer la profanation de leurs cadavres et les bombardements des civils. Des accusations de laboratoires ayant le seul but de gagner la guerre dans les couloirs.
Mais hélas, aucune chance n’est du côté des rebelles. Ce jeudi 25 juillet, au Conseil de sécurité des Nations-Unies, l’opinion attend des sanctions contre les rebelles et leurs parrains rwandais accusés dans le dernier rapport de l’ONG Human Right Watch.
Il sera question pour l’Onu de monter son impartialité dans le traitement du cas RDC.
Le contraire n’est qu’une preuve de plus que l’ONU et les grandes puissances qui constituent le conseil de sécurité ne sont que les alimentateurs de la guerre à l’Est congolais.
Jérémie KADO
© KongoTimes
FARDC
Les FARDC vont de victoire en victoires. L’ennemi de la RDC a tout perdu sur terrain.
Ce mercredi 24 juillet, l’armée congolaise a récupé un de point stratégique qu’occupait la rébellion. Il s’agit de la base militaire stratégique de Rumangabo, située à 50 kilomètres au Nord de Goma.
C’est ici la base la plus importante pour la formation et la prise des stratégies pour la prise de la ville de Goma. Les bombardements de l’armée congolaise n’ont pas laissé aucune chance à l’ennemi.
Un entrepôt de munitions et d’armes a été incendié. Ce qui a obligé les rebelles de fuir pourtant surpris en pleine réunion.
Après cette perte, la coalition Rwanda-M23 s’emploie à désinformer l’opinion. Elle fait circuler des vieilles images sur le net pour dire que l’armée a bombardé des civils. Une sale intox donc.
Ce n’est qu’une fausse intox. La Radio Okapi a rapporté que les rebelles du M23 ont fui en panique, surpris par le bombardement inattendu loin des lignes de front.
Quant aux images qui circulent sur le net, le colonel Hamuli, porte-parole militaire des FARDC, n’a pas tardé à dévoiler la propagande militaire des rebelles.
« Rumangabo est un site purement militaire. Il est possible qu’il y avait des civils qui cherchaient refuge à l’intérieur, mais c’est une cible légitime pour les FARDC » a-t-il déclaré à Reuters.
Sur place, certaines sources affirment que la faiblesse de ce mouvement le conduit à déguiser des soldats en civils pour se protéger contre l’avancée des FARDC.
« Ce qui sont morts, ce sont les rebelles rwandais surpris en pleine réunion par des bombardements inattendus des FARDC », a révélé un civil qui dit avoir quitté le site de Rumangabo après la chute de la colline de Munzoga à Kibati entre les mains de l’armée loyaliste.
Pour lui, il était prévisible qu’après la colline de Munzonga, les FARDC devraient mettre le cap sur Rumangabo. « Nous (la population voisine du camp de Rumagabo) avions pris la précaution de libérer ce site avant que le pire arrive.
Nous nous sommes ainsi réfugies dans la zone récupérée par les FARDC » souligne ce papa de quarante ans qui se dit satisfait par cette énième victoire de l’armée congolaise.
Les images qui circulent sur le net et les accusations du M23 ne relèvent qu’une de sale propagande militaire. Celle-ci consiste à désinformer les faits pour espérer une quelconque sympathie de l’opinion.
Ce qui ne va pas marcher, car au jour d’aujourd’hui, il s’est avéré que le M23 et le Rwanda sont des terroristes. Crier au bombardement des civils, c’est un voleur qui crie au voleur.
Voilà pourquoi ils peuvent évoquer la profanation de leurs cadavres et les bombardements des civils. Des accusations de laboratoires ayant le seul but de gagner la guerre dans les couloirs.
Mais hélas, aucune chance n’est du côté des rebelles. Ce jeudi 25 juillet, au Conseil de sécurité des Nations-Unies, l’opinion attend des sanctions contre les rebelles et leurs parrains rwandais accusés dans le dernier rapport de l’ONG Human Right Watch.
Il sera question pour l’Onu de monter son impartialité dans le traitement du cas RDC.
Le contraire n’est qu’une preuve de plus que l’ONU et les grandes puissances qui constituent le conseil de sécurité ne sont que les alimentateurs de la guerre à l’Est congolais.
Jérémie KADO
© KongoTimes
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