mardi 20 août 2013
La Mission des Nations Unies pour
la stabilisation de la République démocratique du Congo (Monusco) se
veut de plus en plus proche de la population du Nord Kivu pour une
collaboration étroite afin de contrer et de réduire les manœuvres des
insurgés du M23 et des autres groupes armés.
Cette nouvelle stratégie, mise en place dans la lutte contre les groupes armés a été dévoilée par le représentant spécial du Représentant du secrétaire général de l’Onu, Martin Klober.
C’était au terme de sa mission de prise de contact à Goma, Kiwanja, dans le territoire de Rutshuru et à Sake, dans le Masisi. C’est ce qu’a indiqué une dépêche de la radio okapi publiée hier.
« J’ai rencontré les responsables de l’ensemble de l’équipe de l’Onu, les Onget je crois que si on travaille ensemble avec la population, on va avancer dans la lutte contre les groupes armés dans la province », a assuré Martin Kobler, promettant de partager son temps entre Kinshasa et Goma qu’il considère comme le centre de gravité des activités de la Monusco.
Après s’être entretenu avec les casques bleus poursuit la source, Martin Koblera affirmé avoir une belle impression mais annonce toutefois de faire mieux en renforçant de patrouilles dans la ville de Goma et ses environs.
Arrivé à Goma samedi 17 août, le successeur de Roger Meecea tour à tour parlé avec le vice-gouverneur et le président de l’Assemblée provinciale du Nord-Kivu ainsi que d’autres couches de la population.
La situation sécuritaire a dominé leurs entretiens. Dans ce domaine, le patron de la Monusco estime que la mission est appelée à faire mieux.
« C’est important de résoudre le problème des groupes armés, de restaurer l’autorité de l’Etat et de remplir notre mandat avec toute vigueur. Je vous promets de m’occuper des problèmes du Kivu, de Goma et des groupes armés avec toute ma vigueur », avait déclaré Martin Kobler samedi à Goma.
Le nouveau patron de la Monusco, Martin Kobler était entré en fonction en début de semaine passée à Kinshasa. L’homme s’était déclaré confiant quant à un avenir de paix pour la République démocratique du Congo.
« Nous avons la responsabilité de servir le peuple congolais et de l’aider à s’extirper de l’ombre d’un conflit vicieux qui a duré trop longtemps », a-t-il déclaré.
Ce que l’on peut qualifier de nouvelle stratégie de la Monusco tombe à pic pour les Kivutiens, mais aussi pour tous les Congolais, assoiffés d’un retour d’une paix durable dans la Est du pays, et dans toute la sous-région.
Ce souhait est primordial pour les populations des Grands lacs habitués à vivre ensemble, et oblige les gouvernements de cette partie du continent à s’investir réellement dans la recherche de cette denrée autant précieuse qui est la paix.
A cet effet, estime-t-on, la Monusco, qui vient en appui aux forces de la région devrait jouer franc jeu dans la répartition de ses forces.
Car, on ne peut pas comprendre que jusqu’à présent, l’Onu continue à renforcer ses positions à Goma, capitale de la province de la province du Nord Kivu, déjà pacifiée et se trouvant sous haute surveillance de la même Monusco, Fardc sans compter la Brigade internationale, ainsi que la population, alors qu’il y a plusieurs autres coins de la même province vivant dans une insécurité notoire.
C’est plutôt dans les zones encore berceaux des groupes armés que la force internationale devrait orienter ses forces. Un peu comme ce que font les Fardc.
Le vœu exprimé ici est de voir la Monuscode déloger mieux, de traquer les groupes armés dans leur dernière retraite que de se focaliser à Goma, où la situation est calme, pas des rebelles.
Yassa
Cette nouvelle stratégie, mise en place dans la lutte contre les groupes armés a été dévoilée par le représentant spécial du Représentant du secrétaire général de l’Onu, Martin Klober.
C’était au terme de sa mission de prise de contact à Goma, Kiwanja, dans le territoire de Rutshuru et à Sake, dans le Masisi. C’est ce qu’a indiqué une dépêche de la radio okapi publiée hier.
« J’ai rencontré les responsables de l’ensemble de l’équipe de l’Onu, les Onget je crois que si on travaille ensemble avec la population, on va avancer dans la lutte contre les groupes armés dans la province », a assuré Martin Kobler, promettant de partager son temps entre Kinshasa et Goma qu’il considère comme le centre de gravité des activités de la Monusco.
Après s’être entretenu avec les casques bleus poursuit la source, Martin Koblera affirmé avoir une belle impression mais annonce toutefois de faire mieux en renforçant de patrouilles dans la ville de Goma et ses environs.
Arrivé à Goma samedi 17 août, le successeur de Roger Meecea tour à tour parlé avec le vice-gouverneur et le président de l’Assemblée provinciale du Nord-Kivu ainsi que d’autres couches de la population.
La situation sécuritaire a dominé leurs entretiens. Dans ce domaine, le patron de la Monusco estime que la mission est appelée à faire mieux.
« C’est important de résoudre le problème des groupes armés, de restaurer l’autorité de l’Etat et de remplir notre mandat avec toute vigueur. Je vous promets de m’occuper des problèmes du Kivu, de Goma et des groupes armés avec toute ma vigueur », avait déclaré Martin Kobler samedi à Goma.
Le nouveau patron de la Monusco, Martin Kobler était entré en fonction en début de semaine passée à Kinshasa. L’homme s’était déclaré confiant quant à un avenir de paix pour la République démocratique du Congo.
« Nous avons la responsabilité de servir le peuple congolais et de l’aider à s’extirper de l’ombre d’un conflit vicieux qui a duré trop longtemps », a-t-il déclaré.
Ce que l’on peut qualifier de nouvelle stratégie de la Monusco tombe à pic pour les Kivutiens, mais aussi pour tous les Congolais, assoiffés d’un retour d’une paix durable dans la Est du pays, et dans toute la sous-région.
Ce souhait est primordial pour les populations des Grands lacs habitués à vivre ensemble, et oblige les gouvernements de cette partie du continent à s’investir réellement dans la recherche de cette denrée autant précieuse qui est la paix.
A cet effet, estime-t-on, la Monusco, qui vient en appui aux forces de la région devrait jouer franc jeu dans la répartition de ses forces.
Car, on ne peut pas comprendre que jusqu’à présent, l’Onu continue à renforcer ses positions à Goma, capitale de la province de la province du Nord Kivu, déjà pacifiée et se trouvant sous haute surveillance de la même Monusco, Fardc sans compter la Brigade internationale, ainsi que la population, alors qu’il y a plusieurs autres coins de la même province vivant dans une insécurité notoire.
C’est plutôt dans les zones encore berceaux des groupes armés que la force internationale devrait orienter ses forces. Un peu comme ce que font les Fardc.
Le vœu exprimé ici est de voir la Monuscode déloger mieux, de traquer les groupes armés dans leur dernière retraite que de se focaliser à Goma, où la situation est calme, pas des rebelles.
Yassa
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