6 février, 2014
Les réactions d'indignation se poursuivent après le lynchage à Bangui d'un individu par des soldats de l'armée centrafricaine juste après une cérémonie officielle présidée par le chef de l'Etat Catherine Samba Panza.
Après la Seleka et les anti-Baladas, des membres des forces armées centrafricaines, que les autorités tentent pourtant de reconstituer, se sont signalées en lynchant publiquement mercredi un homme suspecté d'être un rebelle. un acte qui a indigné Human Rights Watch, mais aussi la Fidh.
Cette dernière estime que "cet événement démontre qu'aujourd'hui comme il y a 6 mois on peut tuer en toute impunité en RCA". Florent Geel, le directeur Afrique de la Fidh demande la réactivation de la justice et que les auteurs de ces violences soient punis, quelle que soit leur appartenance.
Le représentant des nations unies en Rca, a lui aussi condamné "un acte inadmissible" et réclamé des sanctions exemplaires contre ses auteurs.
C'est dans ce contexte que le ministre français de la défense Jean Yves Le Drian a fait état d'une probable prolongation du mandat de Sangaris.
Lancée le 5 décembre dernier, l'opération française visant à stopper les violences en Centrafrique, devait durer 6 mois. Interrogé sur ce délai, Jean Yves Le Drian a indiqué qu'une prolongation du mandat français par les nations unies était "vraisemblable".
La présence des 1600 soldats français et des 4000 éléments de la force africaine de la Misca n'a toujours pas réussi à juguler la violence.
La semaine dernière, le conseil de sécurité de l'Onu avait mis en garde les auteurs de crimes en votant une série de sanctions contre ceux qui se livreraient à des violations des droits de l'homme.
Les réactions d'indignation se poursuivent après le lynchage à Bangui d'un individu par des soldats de l'armée centrafricaine juste après une cérémonie officielle présidée par le chef de l'Etat Catherine Samba Panza.
Après la Seleka et les anti-Baladas, des membres des forces armées centrafricaines, que les autorités tentent pourtant de reconstituer, se sont signalées en lynchant publiquement mercredi un homme suspecté d'être un rebelle. un acte qui a indigné Human Rights Watch, mais aussi la Fidh.
Cette dernière estime que "cet événement démontre qu'aujourd'hui comme il y a 6 mois on peut tuer en toute impunité en RCA". Florent Geel, le directeur Afrique de la Fidh demande la réactivation de la justice et que les auteurs de ces violences soient punis, quelle que soit leur appartenance.
Le représentant des nations unies en Rca, a lui aussi condamné "un acte inadmissible" et réclamé des sanctions exemplaires contre ses auteurs.
C'est dans ce contexte que le ministre français de la défense Jean Yves Le Drian a fait état d'une probable prolongation du mandat de Sangaris.
Lancée le 5 décembre dernier, l'opération française visant à stopper les violences en Centrafrique, devait durer 6 mois. Interrogé sur ce délai, Jean Yves Le Drian a indiqué qu'une prolongation du mandat français par les nations unies était "vraisemblable".
La présence des 1600 soldats français et des 4000 éléments de la force africaine de la Misca n'a toujours pas réussi à juguler la violence.
La semaine dernière, le conseil de sécurité de l'Onu avait mis en garde les auteurs de crimes en votant une série de sanctions contre ceux qui se livreraient à des violations des droits de l'homme.
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