jeudi 16 mai 2013
La gestion des ressources naturelles en RDC est au centre du colloque qui se tient, du mercredi 15 mai au 16 mai à Kinshasa et au cours duquel les participants ont recommandé aux décideurs congolais de recourir à la sanction pour bien gérer ce secteur, mais aussi d’endiguer de nombreuses fraudes.
« Sanctionner favorisera une meilleure mobilisation des recettes issues des ressources naturelles », estiment-ils durant ce colloque dont les conclusions sont attendues ce jeudi.
« L’abondante richesse dont nous disposons potentiellement à partir de nos ressources naturelles pose le problème de la pauvreté dans laquelle vit la population. Donc c’est le fameux paradoxe », a expliqué le sénateur Mabi Mulumba, modérateur général de ce colloque sur la radio onusienne.
Le représentant du Fonds monétaire international (FMI) à ce colloque a critiqué la faible mobilisation actuelle des revenus issus de ses ressources naturelles par la RDC, indiquant que ces ressources ne contribuent que pour « moins de 15% au budget national seulement sur environ 30% au PIB ».
Le FMI a, pour sa part, recommandé une bonne gouvernance et le recours systématique aux sanctions pour décourager l’évasion des recettes et stimuler leur maximisation.
C’est ce qu’a appuyé le sénateur Mabi Mulumba, ajoutant la sanction ne doit pas seulement intervenir dans le secteur des ressources naturelles, mais s’étebdre à tous les niveaux de la vie nationale.
Les participants ont souligné que de nombreux efforts doivent être fournis dans tous les secteurs.
Les participants ont, s’agissant de la réglementation par exemple, affirmé que des lois spécifiques sur la gestion des ressources naturelles doivent être élaborées et appliquées.
Pour sa part, le sénateur David Mutamba, délégué du gouvernement à ce colloque, a déclaré que des lois, notamment celle règlementant les ressources en eau et celle révisant l’actuel code minier, sont en cours d’élaboration.
David Mutamba, qui intervenait sur les structures institutionnelles de contrôle dans la chaine de production et la commercialisation des produits miniers en RDC, a recommandé plutôt l’instauration d’un contrôle plus efficace pour soutenir l’action des lois et des textes règlementaires.
Matshi
Le Potentiel
La gestion des ressources naturelles en RDC est au centre du colloque qui se tient, du mercredi 15 mai au 16 mai à Kinshasa et au cours duquel les participants ont recommandé aux décideurs congolais de recourir à la sanction pour bien gérer ce secteur, mais aussi d’endiguer de nombreuses fraudes.
« Sanctionner favorisera une meilleure mobilisation des recettes issues des ressources naturelles », estiment-ils durant ce colloque dont les conclusions sont attendues ce jeudi.
« L’abondante richesse dont nous disposons potentiellement à partir de nos ressources naturelles pose le problème de la pauvreté dans laquelle vit la population. Donc c’est le fameux paradoxe », a expliqué le sénateur Mabi Mulumba, modérateur général de ce colloque sur la radio onusienne.
Le représentant du Fonds monétaire international (FMI) à ce colloque a critiqué la faible mobilisation actuelle des revenus issus de ses ressources naturelles par la RDC, indiquant que ces ressources ne contribuent que pour « moins de 15% au budget national seulement sur environ 30% au PIB ».
Le FMI a, pour sa part, recommandé une bonne gouvernance et le recours systématique aux sanctions pour décourager l’évasion des recettes et stimuler leur maximisation.
C’est ce qu’a appuyé le sénateur Mabi Mulumba, ajoutant la sanction ne doit pas seulement intervenir dans le secteur des ressources naturelles, mais s’étebdre à tous les niveaux de la vie nationale.
Les participants ont souligné que de nombreux efforts doivent être fournis dans tous les secteurs.
Les participants ont, s’agissant de la réglementation par exemple, affirmé que des lois spécifiques sur la gestion des ressources naturelles doivent être élaborées et appliquées.
Pour sa part, le sénateur David Mutamba, délégué du gouvernement à ce colloque, a déclaré que des lois, notamment celle règlementant les ressources en eau et celle révisant l’actuel code minier, sont en cours d’élaboration.
David Mutamba, qui intervenait sur les structures institutionnelles de contrôle dans la chaine de production et la commercialisation des produits miniers en RDC, a recommandé plutôt l’instauration d’un contrôle plus efficace pour soutenir l’action des lois et des textes règlementaires.
Matshi
Le Potentiel
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